Les délires d'Akakia

mercredi, juillet 29, 2020

L’Empire du mensonge contre-attaque

Les nouveaux maîtres du monde, les maîtres du mensonge ! Ça vous plaît d’être à leur merci ? Moi pas ! 


Pour la deuxième fois en une seule semaine, je viens de subir les foudres de la Censure facebook. La semaine dernière, après quelques heures, j’avais pu récupérer ma page sans trop savoir pourquoi, mais là j’ignore ???  Si vous lisez mon commentaire, c’est que vous êtes sur mon site « Les délires d’Akakia », là où on ne peut pas m’atteindre. Du moins pour l’instant ! Car j’imagine bien que ceux qui ont le pouvoir de me censurer sur Facebook, pourront également m’atteindre sur mon blogue en y mettant un peu d’effort.

Cette fois-ci, mon délit aura été d’écrire au passage sur la page d’un ami,  pour commenter l’actualité mondiale Relatant le lancement d’une fusée chinoise en direction de mars. Pour rire et de façon bien anodine, mon commentaire était le suivant : « Les Chinois sont tellement menteurs, qu’ils pourraient bien atterrir dans le désert de Gobi et tenter de nous faire croire qu’ils sont sur Mars ». Les Chinois sourient, c’est bien connu, mais ils ne rient pas ! Ils « rient jaune » comme on dit et comme on nous a appris à les mesurer très jeune. Ce qui veut dire qu’en plus d’être des menteurs pathologiques et societaux, ce sont des hypocrites. Quand un Chinois vous sourit, c’est qu’il vous ment déjà et que vous devriez déjà commencer à vous méfier...

Les Chinois n’entendent pas à rire avec le mensonge qu’ils incarnent. S’ils ont réussi à me mettre KO sur Facebook pour un commentaire aussi anodin et sans conséquence pour nous, imaginez maintenant ce qu’ils vont réussir à nous faire avaler quand ils vont avoir Fini d’implanter totalement le 5G, que notre idiot de premier ministre à autorisé. Ils vont être dans nos micro-ondes, dans notre télé, nos ordis ; ils vont avoir le plein contrôle sur notre système de chauffage, notre auto, les trains, les avions et vont nous suivre lâ où nous allons. Ils vont être là quand on va se faire injecter contre notre volonté  un vaccin pour nous guérir d’un de leurs virus créés dans leurs laboratoires. Bref, si on ne leur barre pas la route, ils vont être nos maîtres absolus. Il faut y penser fortement et déjà. Car ils sont en guerre contre nous, en guerre contre notre culture, en guerre contre tout ce qui contrevient à leur délire hégémonique, en guerre contre la vérité toute nue.

Faites-moi un clin-d’œil sur facebook, si vous avez lu la présente.

Bonne journée

Akakia



dimanche, juillet 26, 2020

COVID-19, le virus qui rend fou



Décidément, plus je lis le Journal de Montreal plus je me pose des questions sur ses intérêts et ses pertinences. Il y a trois jours, je vantais quelques bonnes chroniques qui sortaient de l’ordinaire en ce temps de crise. Mais avec ce que j’ai lu hier et ce matin dans ce même journal, je me dis que le numéro  du dernier vendredi était sans doute son bon numéro de l’année ?! J’espère seulement qu’il soit dans une mauvaise passe, à cause de l’été, de Montréal qui s’effondre, du manque d’air dans les poumons de ses chroniqueurs manifestement affectés par le port prolongé du masque.

Ce matin, j’essaie de comprendre ce qu’a voulu nous enseigner Martineau avec « Les géants et les bozos » et j’ai un gros trou noir ! D’une part, le chroniqueur est maladivement et inconditionnellement pour le port du masque. Il a tellement la chienne du virus quand il en voit un sans son masque, qu’il perd son bon sens et n’a plus que des épithètes pour arguments.

La peur rend fou, ça c’est sûr, car elle empêche de nuancer et de relativiser ce qui, en temps normal, doit se faire sans qu’on y pense. Ce matin, dis-je bien, sans doute a-il oublié d’enlever son masque pour la nuit et qu’il a manqué d’oxygène, Martineau ouvre la machine avec le cas du joueur de football multimillionnaire et médecin de profession, Laurent Duvernay-Tardif, qu’il fustige à l’emporte-pièce simplement parce que ce gentil géant a pris la décision de ne pas faire sa saison parce qu’il refuse de mettre un masque. Jusqu’ici, tout devrait aller bien. Mais voilà que Martineau a décidé, pour cette fois-ci, que refuser de faire sa saison sans masque pour ne pas prendre la mauvaise chance de contaminer ses coéquipiers est aussi « débile »selon lui que d’y aller en trahissant ses droits et convictions.

Quand vous aurez compris la logique du message que Martineau a voulu nous adresser, vous viendrez me l’expliquer ! Y’ es-tu pour ou contre le masque ? Pour ou contre un État de droit ? Pour ou contre la liberté de choix ? Pour ou contre le droit de contester proprement ce que l’on croit injuste et d’en payer le prix cher, comme dit vouloir accepter Laurent Duvetnay-Tardif ? Moi, en ce qui me concerne, je trouve ça plus que raisonnable, car ce professionnel du sport et de la santé sait mieux que vous et moi ce qui est bon pour lui et les autres, et sera conséquemment le seul à réellement souffrir de sa décision. Où est le problème ? S’il y en a un, il se trouve tout bêtement dans l’acharnement maladif d’un chroniqueur qui a perdu la boule sur la question du masque et qui n’a plus que sa propension moralisatrice à vouloir nous faire la leçon...

Akakia

samedi, juillet 25, 2020

Delenda Carthago

Les ruines de Carthage...

Dans la partie des commentaires de ma page Facebook du 24 juillet, un ami pour lequel j’ai beaucoup d’estime, Steve Larrivée, m’a demandé de lui expliquer « ce qui arrive dans une Société quand sa Population commence à faire tomber les statues des fondateurs et brûler leurs Idoles. »

C’est beaucoup d’honneur qu’on me fait en me posant une telle question, mais ça ne peut se faire comme ça sur Facebook en un coup de crayon. Une manière d’y arriver, c’est de mettre en relation quelques noms représentant les statues qu’on déboulonne. Colomb, Washington, John Wayne pour ne nommer que ces trois. Ces statues sont des symboles qui évoquent le mythe fondateur de l’Amerique, lequel est associé au mythe du Nouveau-Monde et de la liberté. Et tout cela repose sur une représentation judéo-chrétienne du monde.

Un fait m’apparaît clairement. Un monde nouveau est en train de se construire, et pour y arriver ceux qui le proposent derrière les portes closes de l’ONU et de l’OMS doivent détruire l’idée de la liberté qui, elle, a toute une histoire derrière elle. Pas facile me dirai-vous ! Pas tant que ça ! Car cette conception du monde dans lequel nous sommes nés et avons grandi est très fragile. Il suffit, pour un, d’effacer la mémoire du passé qui nous lie à notre propre mythe fondateur (L’Amerique, car c’est ici que l’idée de la liberté a pris racines) ; pour deux, de nier des faits et en trafiquer d’autres; et pour trois, de remplacer l’idée de la liberté par une autre idée de la liberté.

Et c’est exactement ce qui se passe avec l’histoire du masque pandémique, des armes à feu et du vaccin dont on a déjà commencé à nous dire qu’il sera obligatoire. Il y a ceux qui, comme moi, y voient la perte de libertés de choix fondamentales (donc libertés individuelles). Et ceux qui, comme beaucoup d’autres, veulent imposer son port sous prétexte de vouloir protéger la liberté de tous (donc, libertés collectives), ce qui est une totale aberration.

En l’an 149 avant Jesus-Christ, Caton l’Ancien disait : il faut détruire Carthage (Delenda Carthago), le cœur d’une civilisation qui faisait ombrage au pouvoir de Rome. Aujourd’hui, c’est l’idée de la Liberté qu’il faut détruire pour la remplacer par une autre idée de la liberté. Anodine l'histoire du masque ? Si ce n’était que du masque, je le porterais sans dire mot. C’est l’idée qui se cache derrière que je combats. Vous ne le voyez peut-être pas encore, mais nous vivons déjà sur un tas de ruines...

Akakia

mercredi, juillet 22, 2020

Cette photo n’appartient pas à Facebook !

« LA LIBERTÉ C’EST LE TRAVAIL »



Cette photo n’appartient pas à Facebbook.

Cette photo appartient à l’Histoire. Elle est là pour rappeler l’horreur de la déraison humaine. Respect aux millions de personnes qui ont dû en payer le prix dans leurs chairs et leur mémoire pour nous l’apprendre.

mardi, juillet 21, 2020

Cette photo de la Shoah n’appartient pas à Facebook. Elle appartient à l’histoire de l’humanité


Hier, sous un prétexte fallacieux, quelqu’un qui ne pensait pas comme moi, a fait une plainte au censeur  de Facebook parce que j’ai publié une photo du portail d’entrée du camp d’Aushwitz où il est écrit : « Le travail c’est la liberté ». Prétexte, j’aurais offensé par là la mémoire des martyrs de la Shoah. La personne qui a fait cette plainte et le censeur de Facebook n’avaient certainement pas pris le temps de lire le texte qui l’accompagnait, car j’y avais pris un grand soin de bien marquer la distance des événements avec ceux d’aujourd’hui et de noter tout le respect que j’avais et entretiens envers les millions de personnes qui ont payé le gros prix de la dérive d'un système. Mon message était  simple et honnête : si vous n’êtes pas vigilants, cette horreur peut nous frapper à nouveau. Et ceux qui auront, par lâcheté ou complicité baissé les yeux, devront faire face à un autre procès de l’histoire.

Ce ne sera pas mon cas, car je ne baisserai pas les yeux !

D’ailleurs, cette image lourde de sens et triste à faire pleurer les pierres est fortement utilisée par les gardiens de la Shoah pour mettre en garde l’humanité contre une dérive toujours possible. Et c’est exactement le sens du message qui y est attaché. Je dis encore avec eux  : attention, soyons vigilants, ne les laissons pas faire tout ce qui leur passe par la tête, car il pourrait un jour nous en cuire !

Personnellement, je crois que tout peut se discuter et que tout dépend de la manière. Ce n’est pas vrai qu’un sujet aussi important que la Shoah peut être kidnappé par un pouvoir quelconque ou un individu à l’esprit détourné. Ceux qui ont essayé hier de faire éteindre ma voix font fausse route... Ils ont même essayé de m’empêcher de la retransmettre à partir de mon blogue qui n’appartient pas à Facebook. A ceux là et à Facebook je dis haut et fort : CETTE PHOTO NE VOUS APPARTIENT PAS ! ELLE APPARTIENT À L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ ET NUL N’A LE DROIT DE LA METTRE SOUS SÉQUESTRE. Cette photo n’appartient pas à quelques-uns ni à une idée qu’on se fait de cette histoire. Elle est un message pour nous dire à tous : attention, ce qui s’est produit d’affreux un jour peut se reproduire si vous ne savez retenir les messages qu’elle transporte avec elle. Je n’aurais jamais cru devoir le rappeler.

À ceux-là, je dis encore : ce qui est honteux, ce n’est pas d’avoir utilisé cette photo car, je le répète, je l’ai fait avec respect envers ceux qui ont payé le gros prix dans cette sordide histoire. Ce qui est honteux, c’est de tenter de l’utiliser pour faire éteindre des voix contraires à la sienne et lui faire dire autre chose que ce dont elle est porteuse...

Akakia

lundi, juillet 20, 2020

La Liberté c’est le masque



« Le travail, c’est la liberté ». C’est la traduction du slogan qu’on retrouve à l’entrée du camp de concentration d’Auschwitz. Les Juifs, qui ont subi les outrages de l’une des pires dictatures de l’histoire, en savent quelque chose. Respect à tous ces gens qui en ont payé lourdement le prix et qui en souffrent encore dans leur mémoire. Il en faut si peu pour que tout dérape. Il en faut si peu pour passer du bonheur à l’horreur...

Dans le 1984 d’Orwell, qui a bien essayé de nous mettre en garde contre les dérives du totalitarisme, le slogan dit semblable, mais avec d’autres mots :
« La guerre c’est la paix
La liberté c’est l’esclavage
L’ignorance c’est la force »

Ça m’a toujours fait froid dans le dos. Tout ça ne tient qu’à deux choses : le mensonge d’État et la peur entretenue par le mensonge d’État, au nom du bien commun et de la liberté. Oui, je sais, plusieurs vont me dire : les deux ne se comparent pas. Effectivement ! Pas aujourd’hui du moins. Car tout ça est le fruit d’un processus. Ça commence toujours par un petit quelque chose de difficile à avaler, mais qu’on avale pour avoir la paix et se sentir en sécurité. Et puis, dose après dose, l’histoire suit son cours...

Bonne journée.
J’ai du travail d’écriture qui m’attend. Je replonge dans le XVIIe, dans le plus fort des guerres franco-iroquoises. Pas facile là non plus. Mais je m’y sens mieux. On en perd parfois sa chevelure, mais le coup en vaut la chandelle. Au moins, je peux me soustraire à l’infâme en courant par les bois, fusil à mon bras, libre comme l’air...

Akakia

dimanche, juillet 19, 2020

« Et s’il n’en reste qu’un, je serai celui-là » (Victor Hugo)


« ET S’IL N’EN RESTE QU’UN, JE SERAI CELUI-LÀ. » (Victor Hugo)

Le 22 mars 2020, quand la crise pandémique nous est tombée dessus sans crier gare, j’écrivais dans les Délires d’Akakia :

« Pas de souci, si ça ne dure que le temps de la crise, quelques semaines voire deux ou trois mois. Mais il y a un mais ! Une crise, par définition, c’est passager et il faut que ça le reste ! Car la démocratie est un héritage bien fragile. Elle peut en prendre pendant un certain temps, mais elle a aussi ses limites. Et cette limite s’appelle la « Raison d’État » qui est le principe fondamental au non duquel l’État (c’est-à-dire le top niveau de l’institution suprême qui protège le système... pour le système !) se trouve justifié de violer à la fois les droits collectifs et les droits individuels pour assurer sa maîtrise du pouvoir. Et si cette « Raison d’État » se met à déraper, comme cela est devenu possible dépendamment de la gravité et de la persistance de la crise, nous risquons d’en baver plus que nécessaire et de nous ramasser dans la même situation que les Chinois. »

Ça, c’était il y a peine quatre mois. Que de chemin parcouru depuis, que de mensonges proférés et perpétrés par ceux qui ont fonction de bien nous informer. Il y a quatre mois, le Dr Arruda disait à toutes les antennes  que porter un masque était plus dangereux que de ne pas en porter. Il demandait même de nous abstenir au nom de la Santé publique. Nous n’en avons donc pas porté pendant quatre mois et nous avons réussi, par le confinement et la bonne volonté de tous, à juguler presque complètement les foyers d’éclosions et de propagations. Partout sauf à Montreal.... Dont le bon Dr Arruda a accepté de rouvrir la porte toute grande pour finalement revenir nous infecter en région.

Aujourd’hui, le même Dr Arruda, bien accroché aux basques de l’ONU et de l’OMS, nous dit que c’est grâce au masque que la première vague a été contrôlée. C’est un mensonge de premier niveau, car nous n’en avions pas porté lors de la première. Et  maintenant, il l’impose à l’ensemble de la population qui en redemande. Preuve qu’on s’habitue à tous les poisons, même à l’arsenic. Il suffit d’y aller à petites doses et ça y est !

Et ce qui devait être une exception dans une situation sanitaire d’urgence est devenue, depuis samedi dernier, une... normalité. NORMALITÉ ! J’imagine que vous savez ce que veut dire ce mot. Plus on avance dans l’année, plus les murs de notre prison se rétrécissent. Maintenant, le gros de la population est rentré dans le rang. Mettre son masque n’est plus recommandé, mais c’est désormais  une... norme  sociale. Ce qui veut dire que c’est maintenant inscrit dans les gênes de notre société, et que ceux et celles qui ne veulent pas se soumettre à ce délire arrudien sont ostracisés, matraqués, mis en prison. Tout un gain pour l’esprit de liberté qui est au fondement de l’Amerique et du monde moderne.

Vous aimez ça, bravo pour vous ! Votre docilité m’émeut. Avant, elle m’inquiétait. Mais maintenant, je la compte parmi mes expériences de vie en société. Mais ne m’en voulez pas si je refuse de souscrire à vos peurs. N’ayez crainte, je n’irai pas m’exposer sans masque dans un endroit soumis à la nouvelle normalité. En 71 ans, j’ai appris de mes erreurs et je sais tout le mal que peut produire sur le dos d’un individu le fait de ne pas se soumettre à une norme insalubre. Mais pas questions pour autant de bêler dans ce chœur de consentement...

Akakia

vendredi, juillet 10, 2020

ULTIMA VERBA

Victor Hugo

Arrêtez de m’envoyer des messengers pour m’inciter à porter un masque, vous m’agacez et heurtez mon intelligence. Je n’en porterai pas, sauf à l’hôpital ou un endroit consacré à la santé publique, car cela m’apparaît tout à fait logique ; ce sont des cas d’absolue nécessité. Je préfère ne plus sortir de la maison, comme c’est le cas depuis quatre mois, plutôt que de participer à cette peur collective qui s’est répandue comme le pire des virus ! De toute façon, quel plaisir y a-t-il maintenant de sortir, quand on voit tout le monde regarder l’autre comme s’il était un tueur en série en train de chercher une proie ?!

Les politiciens et l’armée de moralisateurs qu’ils ont à leurs bottes ont réussi en quatre mois à accomplir ce que dix mille ans d’humanité n’avait pas réussi à accomplir, même avec les pires satrapes de l’histoire ; ils ont réussi à maîtriser totalement la société et à la rendre d’une docilité insupportable.

Vous avez peur du virus ? Vous voulez vous protégez ? Ça apaise vos angoisses de la mort de porter un masque ? Soit ! Avec toute la publicité qu’ils y mettent, je comprends que vous ayez si peur, car la société ne vous apprendra jamais qu’une chose : la soumission. Cela dit et étant, ça me fait tout drôle de vous voir à ce point atterré et ça m’attriste de vous voir si soumis, sans le moindre soubresaut de résistance, la peur au ventre, pendus aux lèvres des docteurs inféodés à la Chine et à l’ONU. Et fichez-moi la paix avec vos propos moralisateurs. J’ai consacré ma vie à ma famille et à servir Dieu, le Roi, l’État et la société. J’ai été bon citoyen, n’ai jamais volé rien à personne, donné plus qu’on m’a donné. J’ai donné tout ce que j’avais à donner, et pour récompense de ma participation à l’enrichissement collectif voilà qu’on tente de me ravir l’esprit même de ce qu’est la liberté.

Pour ceux et celles qui ont encore le mérite de se poser des questions sur la vie, la vie en société, la famille et le bonheur de savoir qu’on a vécu une bonne vie bien remplie et d’avoir rendu son voyage comme on dit ; à vous tous, je vous offre ce dernier poème de Victor Hugo, un résistant qui a aimé et souffert l’exil pour s’être rebellé contre la dictature. Lisez-le jusqu’à la toute fin. Si cela ne vous émeut pas, c’est que vous êtes déjà mort...

Akakia

Ultima verba

... Quand même grandirait l'abjection publique
A ce point d'adorer l'exécrable trompeur ;
Quand même l'Angleterre et même l'Amérique
Diraient à l'exilé : - Va-t'en ! nous avons peur !

Quand même nous serions comme la feuille morte,
Quand, pour plaire à César, on nous renîrait tous ;
Quand le proscrit devrait s'enfuir de porte en porte,
Aux hommes déchiré comme un haillon aux clous ;

Quand le désert, où Dieu contre l'homme proteste,
Bannirait les bannis, chasserait les chassés ;
Quand même, infâme aussi, lâche comme le reste,
Le tombeau jetterait dehors les trépassés ;

Je ne fléchirai pas ! Sans plainte dans la bouche,
Calme, le deuil au coeur, dédaignant le troupeau,
Je vous embrasserai dans mon exil farouche,
Patrie, ô mon autel ! Liberté, mon drapeau !

Mes nobles compagnons, je garde votre culte ;
Bannis, la République est là qui nous unit.
J'attacherai la gloire à tout ce qu'on insulte ;
Je jetterai l'opprobre à tout ce qu'on bénit!

Je serai, sous le sac de cendre qui me couvre,
La voix qui dit : malheur ! la bouche qui dit : non !
Tandis que tes valets te montreront ton Louvre,
Moi, je te montrerai, César, ton cabanon.

Devant les trahisons et les têtes courbées,
Je croiserai les bras, indigné, mais serein.
Sombre fidélité pour les choses tombées,
Sois ma force et ma joie et mon pilier d'airain !

Oui, tant qu'il sera là, qu'on cède ou qu'on persiste,
O France ! France aimée et qu'on pleure toujours,
Je ne reverrai pas ta terre douce et triste,
Tombeau de mes aïeux et nid de mes amours !

Je ne reverrai pas ta rive qui nous tente,
France ! hors le devoir, hélas ! j'oublierai tout.
Parmi les éprouvés je planterai ma tente :
Je resterai proscrit, voulant rester debout.

J'accepte l'âpre exil, n'eût-il ni fin ni terme,
Sans chercher à savoir et sans considérer
Si quelqu'un a plié qu'on aurait cru plus ferme,
Et si plusieurs s'en vont qui devraient demeurer.

Si l'on n'est plus que mille, eh bien, j'en suis ! Si même
Ils ne sont plus que cent, je brave encor Sylla ;
S'il en demeure dix, je serai le dixième ;
Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là !
Victor Hugo

lundi, juillet 06, 2020

Et le déboulonné du jour est ?...

ET LE DÉBOULONNÉ DU JOUR EST ?...

Côté  mémoire, ça va de mal en pis. Au Québec, la nouvelle vague d’historiens est en train de réécrire l’histoire des premiers occupants, à la sauce du jour. C’était déjà pourri avec la génération de leurs professeurs universitaires qui ont trafiqué en chœur la vérité historique pour sombrer dans le délire d’une Amérindianté exclusive au prix des subventions. Eh bien, au lieu de s’arranger, comme je l’espérais, ça empire ! C’est pas croyable les stupidités qui sortent de la bouche de certains. Et ils sont en nombre croissant.

J’étudie cette histoire depuis cinquante ans. On ne me la fera donc pas ! Les historiens ne font plus d’histoire, il font de la politique et répondent non plus à un courant de pensée, mais à une idéologie mondialiste. Les faits n’ont plus d’importance ; ce qui en a aujourd’hui, c’est de corriger les soi-disantes injustices du passé et cela justifie tout. Hier, on a déboulonné une statue de Christophe Colomb à Baltimore, pour avoir révélé l’Amérique au reste du monde !  Méchant crosseur ce Colomb ! Il aurait mieux valu laisser les Indiens se bouffer entre eux dans les Caraïbes plutôt que de les exterminer et de les changer par des esclaves noirs arrachés à l’Afrique avec la complicité des marchands... noirs évidemment. Le retour des séances d’autodafé n’est pas loin.

Plutôt que d’échanger sur des points de vue divergents pour faire grandir le sens critique, expliquer et relativiser des questions fort complexes, on déboulonne, on détruit et on efface. Pauvre Colomb ! Après avoir dû souffrir les inquisiteurs de son temps pour avoir vu plus loin que son temps, le voilà à nouveau aux prises avec les Inquisiteurs de la génération des Milléniaux qui rêvent au licornes !

Akakia

samedi, juillet 04, 2020

Les Blancs, un « défaut génétique » !


LES BLANCS, UN « Défaut Génétique ».

Preuve que c’est l’anomalie qui fait l’évolution! Si les Blancs n’avaient pas eu autant de défauts, les Noirs d’Afrique n’auraient pas encore decouvert la roue, ils auraient encore des massues pour s’entretuer quoi qu’ils le font déjà aujourd’hui avec des machettes fabriquées par les Blancs, leur espérance de vie serait de 35 ans, oubliez l’automobile et l’avion pour venir migrer dans les pays des Blancs  pour toucher des chèques d’aide social. Les Noirs d’Afrique continueraient d’alimenter les marchés d’esclaves du Maghreb, ils ne connaîtraient pas la pompe à eau. Bref, exception faite de la misère humaine et de l’immigration massive dans les pays des Blancs, trouvez-moi une seule invention ou découverte scientifique qui vient d’Afrique. Une seule...

Et si les Chinois n’existaient  pas, alors là on serait mal ! On n’aurait pas la chance inouïe de connaître cette formidable invention qu’est le Covid-19, la répression et la ségrégation des enfants filles tuées avant leur naissance pour faire de la place aux garçons . Les camps de rééducation n’existeraient pas, les chiens ne seraient pas mangés comme du poulet, les ours pourraient garder leur bile, les requins ne seraient pas menacés d’extinction à cause de leurs ailerons dont raffolent les Chinois, etc.

Vous imaginez comment les Blancs sont un malheur pour les peuples de couleur et le reste de l’humanité. Ils ont découvert la roue, le livre l’imprimerie, les musées, l’école, les universités, la pénicilline, le moteur à explosion, le laser, le cobalt, la chimiothérapie pour combattre le cancer, et ce ne sont que quelques méfaits que les Blancs dégénérés ont commis !

Akakia



mercredi, juillet 01, 2020

Le pouvoir de l’ombre


LE POUVOIR DE L’OMBRE

Un pouvoir qui perd les pédales, c’est à ça que ça ressemble. Des hommes et des femmes sans visage, imbus de leurs petits pouvoirs et certains d’avoir atteints le sommet de l’humanité. Ils sont sombres et laids. Le virus qu’ils ont attrapé est infiniment pire que celui dont ils disent vouloir nous préserver. Je ne mettrai pas vos masques, je me laverai les mains quand je voudrai et je ne me ferai pas vacciner. Je ne suis pas votre esclave. Mieux vaut crever que subir ce que vous nous faites subir depuis le mois de janvier. Vous nous avez tout enlevé,  nos libertés ont fondu comme neige au soleil sous votre commandement, et là vous tentez de prendre ce qui nous reste : notre honneur, en exigeant qu’on se soumette à votre mégalomanie...

D’ailleurs, vous ne gouvernez plus ; VOUS COMMANDEZ !

Akakia