Les délires d'Akakia

vendredi, août 28, 2020

Nous vivons les derniers instants de la Liberté !



C’est la nouveauté de la guerre mondiale qui est en cours. Plus de canons ni bombes, mais le but reste le même : la soumission par la peur provoquée, imposée, entretenue. Ils ont appris de la première vague et ne lésinent pas sur les moyens. Ils ont bien compris la faiblesse du troupeau. Totale soumission. Le masque est plus qu’un masque. C’est un symbole de totale soumission : Mettez-le, vous vous la fermez, point barre !

Islamisme et Mondialisme, deux religions qui visent à prendre le total contrôle de la planète et des peuples qui y vivent. L’Islam prie Allah, et les suppôts derrière L’ONU et l’OMS, prient à l’église des  pharmaceutiques, de Bill Gates et consorts qui n’onT qu’un seul dieu : l’Argent. Pour croire cela, on me dit Conspirationiste ! C’est leur façon à eux de me neutraliser. Il sous-entendent par là que je n’ai plus de jugement. Malgré tout, je persiste et signe. On est en train de nous passer la bride au cou et le mors dans la bouche. Qu’ils sachent bien que je ne le prendrai pas...

Akakia

La cubanisation du Canada


Nous y arrivons. Tantôt, si on ne fout pas à la porte le PLC, on va se retrouver au même niveau que Cuba. Ça va être beau ! Surendetté, sans liberté, et tous au même niveau, à vendre sa petite vertu aux Chinois pour payer l’intérêt de la dette.

J’ai l’impression d’être prisonnier d’un mauvais rêve. Vous savez, quand on tombe dans les sables mouvants et qu’on se sent enfoncer dès qu’on bouge pour se libérer. Et puis on croit rêver, mais au réveil on découvre l’horreur qu’on ne dormait pas et qu’on a du sable plein la bouche. Plus ça avance pire c’est. Et en plus, voilà que le gouvernement du Québec vend nos données médicales au big pharma ! Complotiste, vous dites ! Assurément, car ça ne se construit pas tout seul ce qui nous arrive. Il y a des mains sales derrière tout ça...

Akakia

jeudi, août 20, 2020

Justin Trudeau et les doigts gangrénés d’un système pourri !

À la une du « Journal de Montréal » du 20 août 2020.

Aucun scandale, aucune malversation, aucune magouille ne l’ébranlent ! C’est quand même fascinant de voir qu’il soit encore au pouvoir sans être même menacé le moins du monde d’être poursuivi au criminel par la justice ! Il a trempé ses doigts crochus partout où ça sent mauvais dans le Parlement de notre pays. Ça pue la putréfaction partout où il est passé et où il passe.

Dans une démocratie normale qui fonctionne normalement, il serait en prison. Chez nous, il prépare sa réélection en espérant la majorité. Absolument fascinant. Il n’y a qu’un explication possible : LE SYSTÈME EST COMPLICE !

Akakia

mardi, août 18, 2020

Voltaire déboulonné, le retour des autodafés



L’auteur de Candide et le défenseur de Calas, emprisonné par deux fois à la Bastille pour avoir écrit la vérité et fait l’éloge de la liberté. Celui à qui le France doit ses Lumières, nous en sommes donc rendus là !

On vit une époque de fou ! La sottise humaine fait la guerre à l’intelligence et elle est en train de gagner puisqu’elle occupe déjà les plus hautes fonctions politiques et administratives. Si vous doutiez de la dégénérescence intellectuelle de la génération que nous avons mis au monde, détrompez-vous, nous y sommes bel et bien. Ils sont en train de retourner à l’âge mental des cavernes. 

C’est le retour des autodafés, cette époque de l’Inquisition où on torturait les hérétiques qui osaient soutenir que la Terre est ronde, cette époque des temps modernes quand les nazis brûlaient les livres pour empêcher le peuple de se poser des questions et comprendre. Sauf que cette fois-ci, on ne brûle pas les livres car les jeunes ne lisent plus. Ils regardent les images. Et comme les statues sont des images et qu’elles présentent des points de repère, alors ils les déboulonnent. C’est un phénomène mondial. Et les instigateurs qui planifient ces crimes logent dans les sales de réunion de l’ONU. La mairesse de Paris, comme Valérie Plante et Justin Trudeau, ne sont que leurs larbins...

Vous n’êtes pas inquiets ? Vous devriez ! Car loin de s’améliorer ça empire...

Akakia

lundi, août 17, 2020

Chronique d’un cornichon !



« La tomate rose » ! Oui ! Oui ! C’est bien le titre et le sujet de la chronique à Martineau de ce matin au temps de la COVID-19. Ce qui devait arriver est arrivé. Martineau a trop snifé de masques et a fini par en avaler un ! Quand on a plus rien à écrire et qu’on a tout épuisé son dictionnaire des invectives contre ceux qui dénoncent les mesures outrancières du gouvernement Legault pour soi-disant contrer la deuxième vague d’un virus fabriqué en Chine, on rase les platebandes à la recherche d’un sujet.

Le Journal de Montreal est-il rendu en manque de bons chroniqueurs à ce point pour publier de telles insipidités ? Si vous pensiez faire un bon coup en compagnie de cette feuille de chou ce matin, oubliez ça, c’est vide total de la première à la dernière page. Vous êtes mieux de lire les ingrédients  que vous allez trouver sur les étiquettes de la boîte de céréale, au moins vous aurez quelque chose à vous mettre sous la dent et finirez votre repas sans vous sentir diminué.

J’abandonne pour la journée. Ma barquette est pleine. La suite demain avec la chronique du même au même, sur « Attaque des tomates carnivores » !

Akakia

jeudi, août 06, 2020

COVID-19 et la soviétisation des médias du Québec et du Canada

COVID-19 ET LA SOVIÉTISATION DES MÉDIAS DU QUÉBEC ET DU CANADA

Jour après jour, je suis estomaquée de lire les textes à l’emporte-pièce des chroniqueurs qui pestifèrent contre tous ceux et celles qui osent exprimer une voix discordante contre le port du masque et les abus des mesures prises par nos gouvernements. Et au Québec, c’est pire qu’ailleurs. Martineau, Côté, Lagacé, le Journal de Montréal, Radio-Canada, La Presse, nommez les, ils sont d’une voix unanime. Ils y mettent tout leur poids, leurs unes, leurs meilleurs commentateurs, en fait tout ceux et celles qui doivent leur job à la liberté de parole, pour épier et débusquer la moindre voix discordante afin de la fustiger en chœur.

Nommez-les tous, quand il est question du port du masque et des mesures coercitives pour contrer le coronavirus, ils sont d’une tonitruante unanimité. Et gare à celui, gare à celle qui ose critiquer l’absolu consensus des médias, la loi et le comportement du gouvernement. Aujourd’hui, après avoir dû souffrir les crachats de Martineau, voilà le tour de Patrice Lagacé, le plus conformiste des journalistes du Québec, à prendre le bâton.

Comprenez-moi bien. Je crois que ce virus est mortellement dangereux pour certaines personnes. Je crois qu’il faut des mesures sanitaires appropriées pour limiter à défaut d’éliminer la contagion. Je crois que des idiots, pour ou contre, il y en a des deux côtés de la barricade. Je crois que le masque pourrait être une mesure efficace s’il est bien utilisé et de bonne qualité. Et j’espère bien qu’on va finir par trouver une manière d’en sortir.

Mais je crois aussi que le gouvernement s’est royalement contredit depuis le début. Je crois que le dr Arruda nous a mentis. Je crois que le gouvernement Legault y va trop fort en obligeant le port du masque dans les lieux publics, exception faite des hôpitaux, des pharmacies et des lieux qui nécessitent plus de prudence. Je crois que la distanciation est une bonne attitude dans les circonstances. Je crois aussi qu’on a mis en péril notre prospérité économique sans savoir où on s’en allait, sans plan d’ensemble. Je crois aussi que le gouvernement fédéral a gaspillé notre sécurité financière. Et je crois que l’ONU devrait prendre ses distances car elle s’immisce un peu trop profondément dans les débats nationaux.

Si je crois et dis cela, est-ce que je mérite, pour autant, toutes les invectives de Martineau, Lagacé et consorts pour autant ? Est-ce que je mérite de me faire épier et menacer de représailles continuellement par la police au nom de la Santé publique ? Il y a un bout à ne pas franchir, et je crois que ce gouvernement l’a franchi... et avec non seulement l’aide de la grande presse mais avec sa complaisance et sa complicité.

En conclusion, au lieu d’empêcher l’opposition et la contestation, ces gens de la grande presse et des médias traditionnels, ces professionnels qui vivent de la liberté d’opinion, devraient tout faire pour la stimuler car elle est l’ultime rempart contre les abus du système. S’il n’y a plus d’opposition, si les médias ne font qu’appuyer le gouvernement comme c’est le cas, il va arriver quoi ? C’est quoi cette volonté de réduire tout le monde à l’absolue obéissance ? Vous êtes rendus où là ? La démocratie n’a donc plus de valeur à vos yeux ?!

Dites-moi encore une chose. A quand remonte un article, une chronique ou un éditorial du Journal de Montreal, de La Presse , du Devoir et de  Radio-Canisse où un anti-masque a pu exprimer clairement ses vues sur la question sans être  blasté par ces nouveaux gardiens de la pensée unique ? A quand ? Vous appelez ça une liberté de la presse vous autres. Moi, j’appelle ça la soviétisation de la presse tous azimuts du pays, je le conteste et je m’y oppose de toute ma voix...

Par la présente, je mets au défi l’un de ces journaux de publier mon texte en entier. Interdiction cependant de le publier en partie, soit celle qui fait leur affaire...

Akakia

lundi, août 03, 2020

L’odeur de la Bête !




Restons prudents avec les chiffres officiels. En fin de semaine, des milliers de manifestants ont défilé dans les rues de Berlin pour dénoncer la trop grande rigueur des mesures sanitaires face au Virus Chinois. Difficile de savoir le nombre exact, mais ce matin les chiffres les plus conservateurs parlent de 20,000 manifestants. À voir les photos satellites, on en imagine beaucoup plus, mais la censure travaille fort par les temps qui courent. Alors on va rester au minimum de 20,000. Quand même pas mal, pour un pays si bien organisé, si respectueux des règles, si droit dans ses bottes, avec des gens qui en ont vu d’autres au cours du dernier siècle.

Selon  les données officielles, 45 policiers ont été blessés par les manifestants, et quelques-uns ont même dû être hospitalisés. Ce n’est pas rien ! Pire qu’aux Etats-Unis, où les gens sont pourtant armés jusqu’aux dents et infiniment moins disciplinés. L’Allemagne, le pays de l’ordre et de la mesure. Quand même !

La question qui mérite d’être posée ce matin est la suivante : pourquoi là et pas chez nous, au Québec et au Canada, où on en impose pourtant beaucoup plus que nécessaire, où certains fonctionnaires non élus décident comme s’ils avaient obtenu l’absolue majorité lors d’un scrutin général ? La réponse est très facile : parce que les Allemands, eux, ils ont connu ça la dictature, la vraie, et ils ont encore en mémoire la manière qu’elle s’est implantée parmi eux. Comme le gel dans la fissure d’une pierre, pour finalement la faire éclater, s’imposer par la force, la brutalité, l’horreur et la terreur !

Rappelons-nous. En Allemagne, les choses ont ainsi donc commencé à s’organiser en vue du pire dans le contexte d’une crise ; celle de 1929, qui ne devait être là que pour quelques mois et qui aura duré dix ans.  L’histoire lui a donné un nom : la Grande Dépression des années trente. Et puis, à la faveur des événements, un idiot plus idiot que les autres est sorti des rangs pour prendre le pouvoir pouce après pouce jusqu’à ce qu’il ait réussi à récupérer le mètre et le kilomètre dans leur entier. Et nous avons vu comment ça s’est terminé...

Si nous, en Amérique, nous avons oublié, car nous n’avons jamais vécu en présence du totalitarisme, eux, de l’autre côté, ils ont cette mémoire inscrite pour longtemps dans leurs gènes et dans leurs muscles. Ils savent reconnaître l’odeur de la bête, et parions qu’on ne les y reprendra plus. Du moins pas sans lui faire une puissante opposition. En 1929, il aura suffi d’une crise planétaire pour que le pire s’installe et prenne toute la place. Une crise, comme celle du COVID-19, qui agit encore aujourd’hui sur nos peurs. Une crise qui prend toute la place, qui nous oblige à accepter la déraison et qui permet au pouvoir élu et non élu d’y prendre goùt.

Là, ça va encore relativement bien pour nous, parce qu’ils n’ont pas encore atteint notre seuil de tolérance. Ils sont en train d’étudier jusqu’où ils peuvent encore pousser le bouchon. Car dites-vous bien qu’ils vont s’arrêter de pousser sur le bouchon seulement quand il sera rentré dans la bouteille... a moins qu’on décide des les arrêter, quand on aura donné un grand coup poing sur la table pour dire au Dr Arruda d’aller se faire élire s’il veut continuer d’avoir un si énorme pouvoir sur nos destinées...

Akakia

samedi, août 01, 2020

Le pays des Bonobos


Le regard simiesque, c’est tout ce qu’il faut retirer de cette chose qui gouverne le pays !

Akakia