Les délires d'Akakia

jeudi, octobre 27, 2016

Culture du viol au Québec, le mouvement féministe en plein délire...


La doctrine féministe est en train d'empoisonner le discours public au Québec. Nous avons vu le résultat dans le dossier du projet de loi sur le registre des armes d'épaule. La première victime : la vérité ; la seconde, le bon sens ; la troisième, la démocratie.

Pas facile d'être un homme au Québec par les temps qui courent. Dans mon jeune temps, quand j'allais à l'école, les garçons et les filles restaient dans leurs chambres et leurs dortoirs. Aujourd'hui, il n'y a plus de frontières ni limites, tout est permis et même les contraires. Faut bien se mettre de son temps ! Après un bon gros party accompagné de quelques verres, elles vont à l'appart du dernier venu pour prendre un dernier verre, font des entrechats entre le lit et la porte, acceptent puis refusent avant d'hésiter et puis, trois ans plus tard, elles se découvrent une nouvelle pudeur et disent avoir maintenant compris que le garçon devenu un homme digne de ce nom, avec femme et enfant, a été un salaud à son heure.

Vous voulez que je vous dise mon point de vue, moi, femme trans qui a connu les deux côtés de la médaille, qui sais ce qu'a été une pulsion d'homme et qui as une pulsion de femme grâce aux miracles de la chirurgie et de l'hormonothérapie, moi qui connais le meilleur et le pire des deux mondes, moi qui sais ce que l'on se dit de part et d'autres de cet univers bien particulier. Vous voulez que je vous dise ? Machisme contre féminisme, peu de différence en ce qui me concerne si ce n'est que le second (le féminisme) est devenu une doctrine, qu'il est utilisé comme une arme et un pouvoir de plus en plus oppressant, et qu'il est en train de se discréditer par ses propres excès. Quelle soit dirigée par les hommes ou par les femmes, une dictature reste une dictature et doit être méprisée puis défaite...

À les entendre ces jours derniers, le Québec est devenu, au fil des années, la terre de prédilection des violeurs. Vous ne croyez pas qu'un peu de modération dans les épithètes et la généralisation du malaise permettrait d'ouvrir le débat tout en donnant plus de crédibilité à ce mouvement qui est en train de déraper royalement...

Akakia

vendredi, octobre 07, 2016

Russel Bouchard publie son cinquième tome de « La vie quotidienne à Chicoutimi au temps des fondateurs (1895-1897) »


Pour pouvoir lire le texte de la couverture C-4, il suffit de cliquer sur l'illustration

Russel Bouchard publie —enfin !— son cinquième tome de  
« La vie quotidienne à Chicoutimi au temps des fondateurs (1895-1897) »

  Les lecteurs qui suivent cette véritable saga historique depuis la parution du premier tome, en 1993, ne seront pas déçus par une si longue attente. Le quatrième ouvrage de la série ayant été publié en 2002, il aura donc fallu à l'historienne régionale quatorze longues et difficiles années de travail, de recherche et de mise en situation pour nous replonger dans le coeur des événements. 

À Chicoutimi, malgré une température hivernale en dents de scies, l'année 1895 commence sur les chapeaux de roues, campagne électorale oblige. Comme l'écrit notre ami Jean-Baptiste dans son fameux « Diary » dans lequel il ne se prive pas de dire et de médire contre tout et chacun : « Au bureau du Progrès du Saguenay [Libéral rouge sang de boeuf], il paraît que ça chuchote, ça placote, ça jabote, à un tel point que ça en est beau ! Les plus fervents sont Louis Bouchard et son frère, Pierre Bouchard qui, encore aujourd'hui, est passé saoul en venant du bureau du Progrès du Saguenay où la morale est défendue à force de verres de whisky ! » Avec la réélection plus que probable du conseil municipal de Chicoutimi dirigé par Guay et sa clique, les choses s'annoncent donc très mal pour l'association Tessier-Petit qui trime dur pour obtenir la faveur populaire et récupérer ainsi sa licence de vente de boissons alcoolisées. Une histoire pleine de rebondissements spectaculaires à suivre dans le tome cinq...

Dans sa version finale, le livre compte exactement 608 pages 6 X 9. Le prix d'achat au détail a été fixé à 40$ (pour une expédition par la poste, il faut ajouter 15$). Il sera officiellement lancé mercredi 12 octobre 2016, à 18 heures 30, à la Bibliothèque municipale de Chicoutimi, salle Marguerite-Tellier.

Pour acheter votre exemplaire et le recevoir par la poste, il faut adresser votre chèque à :
Russel-Aurore Bouchard
33 rue St-François,
Chicoutimi, Qc.
G7G 2Y5