Les délires d'Akakia

mardi, octobre 13, 2020

COVID-19 - On en rirait si ce n’était pas si tragique !

 


ON EN RIRAIT SI CE N’ÉTAIT PAS SI TRAGIQUE !

Depuis quelques jours, retournement de situation. Dans un communiqué de presse international pathétique, un envoyé spécial de l’OMS dénonce le confinement. Non seulement cela n’aide pas à diminuer la menace COVID-19, mais c’est en train de tuer l’économie mondiale, multiplie  les écarts de richesse, crée de la pauvreté et au bout du compte plus d’enfants vont mourir à travers le monde. Autrement dit, le remède imposé par nos gouvernements d’incapables sont pires en terme de souffrance et de mortalité que la maladie elle-même. 

Et comme ce genre de vérité n’arrive jamais toute seule, voilà qu’en France et au Québec, on se fait dire que les gouvernements ont menti dès le début sur l’efficacité du masque. Je vous fais grâce des détails, mais au cas où on l’aurait oublié, ceux et celles qui ont dénoncé le fait ont été jusqu’ici classés dans la rubrique des complotistes, fustigés, dénoncés voire même rayés des réseaux sociaux par les senseurs de ces mêmes réseaux. 

Un gros bravo à Richard Martineau qui, ce matin dans sa plus pathétique des chroniques à vie, vient de découvrir la supercherie gouvernementale six mois après le commun des mortels ainsi que celle de l’OMS ! Morale de cette sordide histoire, on nous ment depuis le début et, le pire dans tout ça, on continue à confiner, de fermer les commerces même si le nombre de morts n’est plus au rendez-vous, et de tuer notre économie...

Akakia

jeudi, octobre 08, 2020

COVID-19 : La radicalisation du discours officiel au Québec

Deux faits divers qui, aujourd’hui, paraissent anodins, nous en disent long sur la radicalisation des esprits et l’imposition du discours officiel face à la COVID-19. Je dis deux, mais je pourrais en évoquer trois voire plus, mais je vais faire un choix. Des gens meurent de la Covid, ça c’est certain, et d’autres iront rejoindre les malheureux laissés pour contre dans la colonne des dommages collatéraux, c’est déjà un fait médical au Québec. À cet égard, avec mes 72 ans et le report de ma chirurgie depuis l’hiver dernier, je suis donc conviée par le mauvais sort à subir l’outrage des statistiques. Mais ce risque que je cours, ce n’est pourtant pas de ma faute, c’est celle des Chinois d’abord qui ont libéré le mauvais génie de la bouteille et ensuite celle de nos gouvernements successifs qui, depuis cinquante ans, a détruit notre système de santé. Conséquence, des gens qui ne devraient pas mourir en meurent aujourd’hui fautes de soins adéquats. La loi de Darwin dans tout ce qu’elle a de plus tragique.

Faut-il se boucher les yeux pour autant ? Nullement pas en ce qui me concerne ! Hier, l’humoriste André Ducharme a tiré ses excréments sur tous ceux et celles qui osent mettre en doute la parole du gouvernement sur cette deuxième vague, parce qu’il a vu son père mourir, dit-il, faute de soins adéquats. Pour un type pas très drôle et pas très talentueux qui s’en est mis plein les poches en tirant sa merde sur tous les gouvernements de son époque et qui a dû sa notoriété grâce à la liberté de parole, il faut reconnaître que c’est pas très fort comme attitude. Ce deuxième cas auquel je réfère, est celui de Maxime Ouimet, policier depuis une douzaine d’années au service de police de Laval, retiré de ses fonctions par ses patrons pour avoir véhiculé sur les réseaux sociaux l’idée que la pandémie n’existe pas et que les masques sont inutiles.

Cette affaire de divergence d’opinions dérange tellement tous les pouvoirs en place, que le ministère de la Sécurité publique du Québec vient d’accorder une subvention de 40,000$ à un centre de recherche (lequel ?) «  pour étudier le mouvement conspurationiste, qui prend de l’ampleur depuis le début de la pandémie de la covid-19 ». C’est donc rendu très loin ! Et je me suis privée ici d’évoquer les propos tenus par Mario Dumont qui suggère, rien de moins au gouvernement, de ne pas soigner ceux et celles qui ont eu l’imprudence de publier leurs doutes sur l’état de la situation et critiqué les décisions gouvernementales dans le but de contrer cette deuxième vague tant et si bien prédite, car selon lui ils nuisent à cet effort gouvernemental.

Il n’y a donc plus de nuances possibles. C’est donc maintenant le système tout entier qui est réquisitionné par l’Etat dans sa lutte contre la Covid et des propos de part et d’autre qu’il faut tenir et endurer. Plus le droit de douter de la moindre action du gouvernement et encore moins de contester ses décisions radicales. C’est le crois ou meurs ! Maintenant, la menace ne vient plus de la Covid, mais de l’Etat lui-même. Nous sommes donc rendus loin, très loin du bon sens et de notre culture démocratique. Dans ce mouvement de propagande, l’Etat Du Québec , avec l’appui des médias, a donc fini par rendre responsable de la triste situation dans laquelle il nous a lui-même fourré par ses décisions politiques échelonnées sur 50 ans , non seulement ceux et celles qu’ils ont classé dans l’armée des complotistes, mais le peuple dans son entier.

Akakia

mercredi, octobre 07, 2020

Au son de la lyre, cette histoire qui s’écrit sous nos yeux

 

AU SON DE LA LYRE, CETTE HISTOIRE QUI S’ÉCRIT SOUS NOS YEUX

Il n’y a pas à dire, l’époque que nous traversons nous offre des prises de vue sur l’histoire de l’humanité que je n’aurais pas cru voir de mon vivant. Vous avez vu comme moi le retour théâtral de Trump dans la suite de son hospitalisation, et son apparition sur le balcon de la Maison blanche. On a beau dire tout le mal qu’on peut dire de lui, il faut tout de même avouer qu’il a la formule pour faire parler. 

Je ne sais pas comment vous, vous avez perçu l’image, mais moi j’y ai vu Néron en train de regarder brûler la ville Rome en jouant de la lyre, après y avoir mis le feu ! Il n’y a pas à dire, nous traversons un moment lourd de sens. Oui, l’époque que nous traversons est difficile. Oui, on nage dans l’inconnue et on ne sait plus qui suivre, qui dit faux et qui dit vrai. Mais il y a des moments comme celui-là que l’histoire ne pourra oublier, ça c’est sûr ! Pour rien au monde je ne voudrais donner mon banc...

Akakia

lundi, octobre 05, 2020

Classe de 1956-57, 1ère année, St-Luc





samedi, octobre 03, 2020

La mort du lion

 

C’était écrit dans le ciel ! Le président des Etats-Unis, atteint de plein fouet par la COVID-19 ! Nul besoin d’être devin pour avoir pu présager d’une telle éventualité. Ce qui est extraordinaire, ce n’est pas le fait que Trump ait attrapé ce fichu virus, mais plutôt celui d’y avoir échappé aussi longtemps. Quand on court à travers le pays à tombeau ouvert comme il le fait pour mousser son élection et qu’on nage dans une marée humaine depuis tant de mois, il fallait bien s’y attendre. Le contraire aurait eu de quoi nous étonner et évoquer la protection divine ! 

Ce matin, l’espace médiatique est « piqué de la tarentule » ; une vieille expression populaire québécoise pour figurer la folie des commentateurs ! Oubliez les analyses bien arrêtées pour en mesurer les conséquences, car conséquences il y aura et elles seront énormes peu importe l’issue de la maladie et de la campagne électorale qui tire à sa fin aux Etats-Unis. Une chose est sûre et certaine, la planète est engagée dans une zone de turbulences inédites et jamais n’aurait-on eu autant besoin d’une capitainerie maîtresse de ses moyens. Ce qui arrive aujourd’hui à l’homme le plus puissant de la planète devrait nous inquiéter au lieu de nous réjouir. Car, présentement, les seuls pays qui semblent bien tenir la barre dans ce déferlement d’événements incontrôlables sont les dictatures, dont la Chine et tous les ennemis des Etats-Unis qui attendent la mort du lion pour refaire le monde à leur avantage.

Loin de me réjouir, cette situation m’inquiète. Pas pour moi, car à 72 ans j’ai fait tout ce que j’avais à faire. Mais je m’inquiète pour la suite de l’histoire et du monde. Vous pensez qu’on a été mal pris pendant les quatre dernières années avec Trump ? Attendez de voir ce qui risque de nous arriver avec Biden, un vieillard pas plus futé que son opposant, guerre mieux outillé mentalement pour faire face à tout ce qui nous menace et dont l’espérance de vie ne tient qu’à un fil...

Akakia