Les délires d'Akakia

mardi, octobre 09, 2018

Fils de Colborne !

Jean Chrétien, ancien premier-ministre du Canada.


Interviewé sur la question des signes religieux et le projet législatif du premier ministre Legault, l’ex-premier ministre Canadien, Jean Chrétien, ne s’est pas privé de sortir de son asile, pour fustiger le nouvel élu du Québec par des formules bancales dont il est le seul à avoir le secret et en lançant ses insipides anathèmes contre les Canadiens français. Selon lui, ce débat sur la laïcité est inutile ! C’est la peur et rien que la peur qui le motive. François Legault n’y connaît rien à la Charte canadienne des droits et libertés de la personne, il n’est pas avocat, et l’affaire va vite tourner en queue de poisson.

J’aurais pu le citer entre guillemets pour faire dans les conventions, mais le bonhomme maîtrise aussi mal le français que l'anglais, ses deux langues secondes, et n’est pas convenable. Il est tellement difficile d'élocution qu’il faudrait un codex colligé et imprimé à sa seule intention pour pouvoir le suivre jusque dans le fin fond des ténèbres de son cerveau.

Ce type a un tel mépris du peuple, un tel mépris de la démocratie, un tel mépris des Québécois de souche, une telle arrogance, qu’il en perd toute intelligence. Il fait partie de cette élite canadienne-française qui a trahi père et mère pour satisfaire ses basses ambitions. C’est sur ce type de personne, médiocre et triviale, que Colborne* et Durham** misaient pour nous détruire. (Voyez plutôt : https://ici.radio-canada.ca/…/port-signes-religieux-quebec-…)

Akakia

* Pour ceux qui ne savent pas, John Colborne (1778 † 1863) était, à l'époque de la Rébellion de 1837-1838 dans le Bas-Canada, était lieutenant-gouverneur du Haut-Canada (l'Ontario d'aujourd'hui) et administrateur du Bas-Canada (le Québec). En 1838, après avoir mâté les rebelles de Saint-Benoît, il mit feu au village et ordonna son pillage, ce qui lui valut le surnom de « vieux brûlot » en raison de sa cruauté.

** John George Lambton, 1er comte de Durham (1792 † 1840), est l'émissaire délégué par Londres pour évaluer les causes de la Rébellion de 1837-1838 dans le Bas-Canada. Dans son fameux rapport, déposé en 1839, il a évalué que les Canadiens français formaient un peuple sans culture et sans histoire, et a prédit qu'ils allaient être détruits par leurs propres élites.

lundi, octobre 08, 2018

Manifestations à Montréal – L'héritage du règne Couillard-Trudeau

Manifestations dans les rues de Montréal, le 5 octobre 2018, contre le projet gouvernemental de la CAQ, pourtant sur les signes religieux chez les fonctionnaires en fonction d'autorité.  


Manifestations dans les rues de Montréal en cette fin de semaine de l’Action de Grâce, une fête chrétienne, qui se veut pourtant un appel à la paix ! Cette merde sociale était à prévoir. Elle est le fruit des politiques libérales (lisons pro-musulmanes) de Philippe Couillard et Justin Trudeau.

Dans les années 80, les boats peoples venant du Vietnam ont déversé chez nous des milliers de migrants. Et puis ce fut Haïti, Cuba puis les pays d’Amérique du Sud qui ont succédé aux Irlandais, aux Italiens, aux Français et aux réfugiés d’Europe de l’Est. Depuis 500 ans, le Québec est une terre bénie pour les immigrants fuyant les persécutions, la guerre, l’indigence. Avec les premiers occupants, mes ancêtres, nous avons fait pays, l’un des plus invitant de la planète aujourd’hui. Mais cette paix a ses limites, et on est en train de les éprouver jusqu’à la brisure, et ce n’est pas bon pour personne.

Jusqu’à tout récemment, tous ces gens que nous avons accueillis au Québec se sont adaptés. Ils sont devenus de bons Québécois et de bons Canadiens. Et ils avaient tous un point en commun : ILS N’ÉTAIENT PAS DES MUSULMANS !!! Je ne parle pas de races, mais très précisément d’une religion, l’Islam, qui est une idée de soi dans l’éternité et un pouvoir politique, une combinaison délétère qui est à la source des plus grands conflits qui embrasent la planète depuis un quart de siëcle. Oui, l’Islam, une idée qui, comme toutes les idées, peut et doit être remise  en perspective, une idée qui peut et doit être questionnée sur ses origines, ses bases et son projet.

On a beau dire ce que l’on voudra, ceux et celles qui foutent la merde présentement dans les rues du Québec sont, a priori, des musulmans aidés et soutenus par la gauche fasciste qui a son propre agenda. Ce sont des fauteurs de trouble, des prédateurs politico-religieux qui, ne vous laissez pas leurrer, n’ont aucunement l’intention de s’intégrer. Ils ont un seul désir, profiter de notre bonnasserie et reproduire chez nous ce qu’ils ont fui dans leurs pays d’origine.

Oui, évidement, nous avons besoins de nous ouvrir à l’immigration. J’en suis. Mais pourquoi ne misons-nous pas auprès des pays qui ont une culture judeo-chrétienne et sur des demandeurs d’asile qui ont de quoi offrir en échange des bontés que nous leur faisons ? Ça deviendrait si simple...

Akakia

vendredi, octobre 05, 2018

Québec, élections du 1er octobre dernier – Quand l'histoire s'invite au repas des initiés et impose sa présence

Carte électorale du 1er octobre. Un Québec nettement fracturé : Montréal (la Cité des migrants et des communautés culturelles) et les Régions ressources (le pays des peuples fondateurs et des Canadiens français)

 On dit souvent que la victoire a beaucoup d’enfants et que la défaite est orpheline. Cela n’aura jamais été aussi vrai qu’en cette occasion. Perdants de l’élection du 1er octobre ? Notons d’abord les Libéraux et les Péquistes, bien sûr, mais ce serait sombrer dans le superficiel que de les laisser seuls à devoir manger les fruits amers de la défaite.

Essayons, ensuite et pour une fois dans notre trop courte existence, de voir au-delà des grands titres des journaux et de l’ulcérante subjectivité de Radio-Canada. Qu’on le veuille ou non, l’élection de lundi dernier est un réajustement historique majeur. En tout et pour tout, c’est un vibrant rappel à la réalité socio-historique et culturelle entre immigrants de la dernière heure, qui étaient en train de prendre toute la place dans le débat de société, et Québécois de souche, écœurés d’être les cocus contents et passifs des événements qui secouent la planète. Comme on dit, « ça craqué jusque dans les fondations ».

Le résultat de cette élection, c’est également un tonitruant coup de semonce lancé par les Régions ressources en direction de Montréal qui les méprise comme si elles étaient des régions peuplées de pèquenots et qui les perçoit comme des colonies ! Et parmi les autres perdants, ceux qu’on cache pour leur éviter l’opprobre et la honte, prenons le temps de souligner au gros crayon rouge la faillite cuisante des médias traditionnels devant les médias sociaux ainsi que les sondeurs qui, pour leur part, n’auront jamais autant prouvé non seulement leur inutilité mais leur nuisance dans le débat public.

 Court rappel. Depuis la défaite référendaire de 1995, on avait mis de côté les Canadiens français au profit des minorités culturelles et des immigrants, et on avait abandonné les régions ressources et les peuples fondateurs au profit exclusif de Montréal. Entre Montréal et les régions ressources, la cassure est donc aussi totale qu’inquiétante, quoi qu’en disent les médias montréalaisés et Radio-Canada. Le craquement électoral de lundi retourne donc le Québec face à la réalité et à son histoire profonde. Pas l’histoire récente des dix dernières années, mais l’histoire écrite sur un temps long. Il était temps qu’on remette Montréal à sa place et qu'on retourne le politique à ses premiers devoirs : le peuple et la nation. Abusivement chouchoutés par la gauche déviante, Montréal et les migrants de la dernière heure doivent maintenant comprendre qu’ils devront faire leur part pour construire le Québec de demain et prendre leur place dans l’histoire. Ce n’est pas une proposition, c’est une obligation et un incontournable...

Akakia

mardi, octobre 02, 2018

Elections Québec : La revanche des Canadiens français et des régions ressources – Ça fait du bien !

François Legault, une victoire bien méritée... et qui oblige !

Nous avions perdu en 1760, perdu en 1838, encore perdu en 1980 et perdu par la peau des fesses en 1995. Mais nous sommes là, de retour, bien vivants, gonflés à bloc et fiers de reprendre la place qui nous revient de plein droit, la première, celle que nous méritons en vertu de l’histoire, du travail de nos pères et de nos mères qui ont construit ce pays. Les Libéraux avaient oublié d’où ils viennent et où ils puisaient leurs pouvoirs. Ils ont tout fait pour nous faire disparaître dans l’immigrant de la dernière décade et le résultat électoral d’hier vient de leur rappeler, par la plus cuisante défaite de leur histoire, tous leurs devoirs à notre endroit.

Car, peu importe par quel bout de la lunette ils analyseront les potentielles raisons de leur défaite dans les jours, les semaines, les mois à venir, ils y verront toujours l’ombre et l’action des Québécois de souche (Canadiens français et Métis), des mouvements spontanés qui ont ressurgi des politiques injustes, abusives et contre nature qu’ils leur ont imposées (dont le registre des armes à feu), et des régions ressources qui en ont eu assez de passer pour des colonies sucées jusqu’à la moelle des os au profit de Montréal.

Les libéraux et leur chef, M. Couillard, nous avaient pris pour acquis, nous croyant presque morts. Ils ont péché par mépris et excès de confiance, profité de notre bonasserie et nous ont poussé jusqu’à la limite de ce que nous pouvions supporter. Ils ont trahi, à notre égard, toutes leurs promesses. Ils avaient cru que Montréal allait encore une fois leur assurer la victoire au mépris des régions et ils se sont trompé. L’élastique vient de leur péter en pleine face !

Que François Legault, qui a récupéré par défaut le pouvoir politique, en prenne bien note. Sa victoire est belle et puissante et nous le félicitons de son succès. Il a vaincu, et de la plus éclatante façon, car nous lui avons permis de vaincre ainsi. Que cela soit dit, écrit et répété lorsqu’il entrera au salon bleu pour gouverner : nous sommes là pour rester et vous êtes tenus de ne jamais l’oublier...

Si on regarde bien le résultat de l’élection d’hier, outre le Parti libéral et le PQ, les vrais grands perdants sont les firmes de sondages qui ont eu tout faux tout au long de la campagne électorale et les médias traditionnels qui n’ont pas été capables de nous conduire là où ils auraient bien voulu qu'on aille . Pour dire juste, ce sont les médias sociaux et les sites d’échanges que nous administrons et alimentons qui ont réussi à changer le cours de l’histoire politique du Québec. Servons-nous en pour gagner la lutte qui se poursuit et foutre à la porte l’automne prochain, Trudeau et le PLC.

Akakia