Les délires d'Akakia

samedi, janvier 12, 2008

Akakia, en cavale, pour cause d'écriture

Bonjour.
À tous ceux et celles qui m'ont écrit pour avoir accès à nouveau à mon blogue, voilà, c'est fait jusqu'à ce que j'en décide autrement. On ne tient pas un blogue pour tenir un blogue et faire comme les autres ; on tient un blogue parce qu'on veut l'animer et nourrir, ce que je ne puis faire convenablement pour le moment. En toute chose, il faut savoir tout donner ou s'abstenir.

Mais, n'ayez crainte ! Pour ne pas perdre le noeud de la corde qui nous étrangle en tant que société, j'ai pris soin de monter un livre avec mes meilleurs pamphlets (Les délires d'Akakia) dans l'espoir, un jour, de les publier sous cette forme. Je voudrais bien que ce combat demeure dans l'esprit de notre temps et qu'il témoigne des prévarications, des petitesses et des trahisons de tous ceux qui nous ont fourrés en prétextant que c'était pour notre bien (sic !).

Si je reviens au printemps avec un blogue actif (genre « Le retour d'Akakia », ce qui ne serait pas impossible), ce sera quand j'en aurai terminé avec la rédaction de mon livre consacré à l'Histoire de la navigation sur le Saguenay (j'ai donné ma parole à ville Saguenay et j'entends donner là aussi le meilleur de moi-même, comme toujours). Cela demande donc tout mon temps. C'est très difficile. Et comme je ne fais pas les choses à moitié, j'ai décidé de ne me consacrer qu'à ce travail. Prendre un peu de recul ne peut être que profitable. Avec mon histoire de la navigation, les gens vont découvrir une histoire du Saguenay passablement inédite (comme le double assassinat de deux matelots, commis sur un bateau par David Edward Price, un crime resté impuni ; un autre cadeau de la Justice de l'Empire. Saviez-vous que les Anglais ne prenaient que la partie de l'arbre partant de la racine aux premières branches ?!!! Et on se demande pourquoi il n'y a plus d'arbres...).

À bientôt et merci de m'aimer...

Akakia