Les délires d'Akakia

dimanche, mars 28, 2021

Le crachat anti-Québécois de Dany Laferrière

 


LE CRACHAT ANTI-QUÉBÉCOIS DE DANY LAFERRIÈRE

« Pour savoir comment une ville vibre, pour savoir si cette ville accepte les étrangers, où ils placent leurs morts… » Dany Laferrière a une façon bien à lui : il va « voir si les gens s’épousent entre eux », et il donne en exemple, à l’animateur français François Busnel, le Québec où, dit-il, « les Gagnon s’épousent entre eux, la mère s’appelle Gagnon, le mari s’appelle Gagnon et les enfants épousent un autre [Gagnon]. Et quand, en fin de compte, ils forment, ce qu’on appelle au Québec, un tricotage serré de la famille, on a l’impression que cette société n’a pas évolué vers l’Autre ». « Et souvent, poursuit-il, ça se reflète aussi sur la librairie, [car] les gens qui se font des enfants entre eux, finissent par lire les mêmes livres ».

Des tarés, des racistes et des retardés mentaux, c’est tout ce que nous représentons pour lui ! Propos aussi surprenant que choquant venant d’un écrivain qui a tout eu du Québec. Nous, les Gagnon, les Bouchard, les Tremblay, les Savard et les Gauthier, nous  l’avons accueilli comme un frère. Nous l’avons invité à notre table, lui avons donné un avenir, l’avons considéré comme l’un des nôtres. Nous avons acheté ses premiers bouquins quand personne d’autre au sein de la francophonie internationale n’en voulait, et nous lui avons servi de rampe de lancement pour une carrière reluisante qui l’a hissé jusqu’au Parnasse de la reconnaissance littéraire. Et c’est là la seule façon qu’il a trouvée pour nous remercier de lui avoir permis de se construire un avenir. Pour quelqu’un qui milite ouvertement contre le racisme, quand même pas banal..

Il y a de quoi être retourné. Nul besoin d’aller de l’autre côté de l’Outaouais pour se faire insulter. Nous produisons nous mêmes, à force de largesse et de bonasserie envers les immigrants, ceux et celles qui nous pourfendent à l’international, votent les gouvernements, changent les lois et méprisent nos seulement notre culture fondatrice mais ce que nous sommes intrinsequement et ce que nous représentons pour eux...

Akakia

jeudi, mars 18, 2021

Les madames hystériques de polytechnique fustigent l’idiot qu’elles ont mis au pouvoir !

 


LES MADAMES HYSTÉRIQUES DE POLYTECHNIQUE FUSTIGENT L’IDIOT QU’ELLES ONT MIS AU POUVOIR, VOILÀ CINQ ANS ! Bien fait pour elles...

Elles se sont finalement aperçues que ce type qui dirige le pays est un eunuque, un menteur et un hypocrite. Quand un projet de loi déplaît même à ceux et celles pour lequel ils ont combattus, on a un problème. En fait, les seuls qui sont satisfaits sont Trudeau et Blair qui ne font que répondre à une idéologie venue de l’ONU.

Ça fait vraiment plaisir de voir ce matin, que les hystériques de polytechniques se sont fait répondre avec le même ton insignifiant qu’il nous sert depuis cinq ans. C’est pas croyable qu’un tel idiot se soit tenu à la tête du pays pendant cinq ans. Ça prend un peuple de tarés pour en arriver à cela !

Akakia

vendredi, mars 12, 2021

La mascarade des fronts de beuhhh !

 


LA MASCARADE DES FRONTS DE BEUHH ! 

Un an déjà ! 10,500 morts rien qu’au Québec. Le pire score au Canada et l’un des pires au monde. Et les voilà tous réunis autour de François Legault, pour venir déposer une gerbe de fleurs en hommage aux morts de la covid-19. Faut être tordu en pas à-peu-près pour se prêter à une telle mascarade de république de bananes. M. Legault, arrêtez de nous conter des sornettes, vous avez échoué ! Lamentablement échoué ! Arrêtez de faire de la pousse politique sur les cadavres des aînés que vous avez abandonnés par dizaines de milliers et qui représentent à peu-près 95% de décès, des personnes humaines que vous avez laissé mourir dans les maisons de la mort que vous entretenez toujours. Morts de faim, mort déshydratés, morts enfermés dans des cages, sans visite, seul au monde...

Depuis un an, le Québec et le Canada ne vivent toujours qu’au rythme de cette pandémie passée date. Soyons honnêtes pour deux sous. Si j’étais un planificateur de l’Etat québécois, un bon rond de cuir gras de lard comme on les fabrique chez nous; si j’étais de ce gang et que je regardais dans les chiffres disparaître tous ces vieux, je me dirais, dans le secret, que ça fera toujours ça de moins à supporter dans les CHSLD, moins de cas graves en fin de vie à devoir garder dans les hôpitaux, moins de pensions de vieillesse à leur verser, moins de médicaments pour ces gens improductifs et inutiles (sic), et ça fera autant de petits bas de laine retournés dans le circuit des banques via les héritages. Ça, c’est ce que personne n’osera dire cette année. Ne soyons pas dupes : ces planificateurs voient cela et travaillent en fonction de cela. On aurait voulu planifier une opération de grand nettoyage qu’on aurait agi de la sorte...

Depuis un an, les médias ne parlent que de ça, le gouvernement ne tourne que grâce à ça. Enlevez l’épidémie, du jour au lendemain, et TVA, Radio-Canada, Le Journal de Montréal , La Presse et Le Devoir devront fermer boutique. Ils ne parlent que de ça, et ne font qu’entretenir la psychose collective qui les sert bien, servent bien tous ceux qui en vivent. À commencer par le PLC, qui mène en roi et maître sur la colline parlementaire depuis un an. Nous ne voyons que Trudeau et que Jean-François Blanchet, l’homme de Peladeau, ennemis et alliés qui s’entendent comme larrons en foire pour ramasser les lauriers lors du prochains scrutin fédéral. Bandes d’hypocrites !

Akakia

mardi, mars 09, 2021

« Tu vas te crever un œil ! »

 


« TU VAS TE CREVER UN ŒIL ! »

Ce fut un bonheur de vivre mon enfance dans les années cinquante et ma jeunesse dans les années soixante. Pour rien au monde, je ne voudrais retourner à mes vingt ans avec ce que je devrais vivre dans ce climat de rectitude politique invivable, toutes ces lois abusives et absurdes qui érodent liberté après liberté, ces politiciens opportunistes qui se prennent pour des papes de la rectitude et pour cette facilité qu’ils ont acquise de nous contraindre corps et biens. Définitivement, ce que nous avons gagné, au cours des cinquante dernières années, en technologie, en bébelles électroniques en luxe et en jouets sexuelles, nous l’avons perdu en humanité. Avant, on pouvait tout faire, sauf ce qui était défendu par la loi ; aujourd’hui, on ne peut plus rien faire, sauf ce qui est permis par la loi ! Trouvez l’erreur !

Un jour, j’avais huit ou neuf ans, ma mère m’avais acheté pour Noël une carabine à plomb Red Ryder. Comme dans le film de Christmas Story. Elle me l’avait achetée avec deux ou trois tubes de munitions qui ressemblaient à des rouleaux de cinq cents. Cent plombs par tube à 29 cents l’unitè, ce qui me donnait au moins 300 coups pour faire ma révolution, prendre le bois avec des gamins de mon âge et jouer à Rintintin. Et vous savez quoi ! J’ai encore mes deux yeux, personne n’a perdu la vue autour de moi à cause d’une imprudence, et aucun petit oiseau du bon Dieu  n’en a payé le prix de sa vie. On tirait sur des boîtes de conserve vides. On savait d’instinct, à cette époque, qu’on ne pointait jamais personne avec un fusil à plomb et qu’il fallait faire gaffe. Ce fut le jouet de l’année dans ma rue. 

Aujourd’hui, garçons ou fillettes, vous aurez beau faire des vœux à la fée des Étoiles, vous aurez beau faire la danse du bacon,  vous n’aurez jamais cette opportunité de recevoir, au pied du sapin de Noël, une merveilleuse Red Ryder et tout le sentiment d’absolue liberté qui venait avec dans ce monde ou à peu-près tout nous était permis, pourvu que le bon sens et le respect d’autrui soient de la partie. C’était vraiment le bon temps. C’était avant que la rectitude s’empare de nos vies, que les hystériques, qui ont pris la place des curés et des bonnes sœurs, investissent tous les échelons du pouvoir, avant que le masque devienne obligatoire pour tous, avant le couvre-feu qui est devenu une manière de vivre, et bien avant que le Parti libéral de Justin Trudeau décide d’interdire les carabines à plomb de mon enfance et les fusils à balles de peinture. Aujourd’hui, encore heureux que Bobinette ne soit plus de la partie ; je parie qu’elle n’aurait plus le droit de faire éclater ses bombes à la farine. Trop dangereux. D’autant plus que Bobineau aurait été traduit en justice pour grossière indescence, et qu’il aurait été remplacé par une grande-sœur transgenre, noire, analphabète et handicapée...

Comme je l’ai écrit hier à une amie facebook : je déteste cette époque que je traverse. J’ai de plus en plus l’impression de vivre en Allemagne de l’Est après la conférence de Yalta !

Akakia

lundi, mars 08, 2021

Bonne fête les filles !

 


BONNE FÊTE LES FILLES 

Ce matin, 8 mars, journée nationale des femmes (ou de la femme, je sais plus très bien ?). Les gars, prenez votre trou, rentrez dans vos garages, les journaux vous ont complètement oublié ce matin. Amateurs d’armes à feu et propriétaires des futurs armes prohibées, s’abstenir, ce n’est vraiment pas la bonne journée pour vous plaindre de la femme à barbe qui règne sur la Colline Parlementaire à Ottawa et qui vous rentre le canon par derrière jusqu’à la culasse. Vous avez complètement disparu de la femmosphère. Ils ont même ressorti Madeleine de Verchère qui, selon elle, aurait eu le dessus sur un groupe d’Iroquois qui voulait la séduire à coups de tomahawks (une sacrée affabulatrice, je vous jure, qui a changé la version de son histoire à chaque fois qu’elle l’a racontée).

Même Maka Koto, dont j’aime bien les chroniques pourtant, y va d’un mauvais poème dans lequel il fait sa confession toute-féministe (on est loin du « Flacon », de Charles Beaudelaire, je vous jure : si vous n’avez pas lu ce merveilleux poème, faut lire). Pourtant, quand je vois sa femme le visage tout crispé, à La Joute de TVA, mordre à pleines dents comme un pitbull les évènements du jour, je me dis qu’il ne doit pas toujours l’avoir facile le pauvre homme !

Je sais, je sais, je viens de prononcer une coupelle de blasphèmes anti-féministes, mais je suis comme ça, que voulez-vous : j’ai la dent dure sur le conformisme et les journaux à l’unisson. Si vous n’avez pas lu, rabattez-vous sur la chronique de LoÏc Tassé, c’est le seul qui ne s’est pas écrasé dans le refouloir  féminitissime du Journal de Montréal.

Akakia