Les délires d'Akakia

dimanche, juillet 29, 2018

L'impression de pistolets 3D, logiciel disponible dès le 1er août. Et ce n'est que le début !



 Ne vous avais-je pas informé de ce qui s’en venait dans mon mémoire rédigé en vue de la commission parlementaire instituée par les Libéraux du Québec pour la loi 64 (le fameux registre inutile et ingérable) ainsi que dans mon livre consacré au faux débat sur les armes à feu ! Vous pensez que le Canada va pouvoir contrôler la situation en devenir avec sa Loi C71 ? C’est continuer de rêver en couleur à la mode des bisounours et être complètement en dehors de la plaque. 

M. Trudeau, on est en 2018 et le monde change à la vitesse grand V. Et on est en Amérique du Nord, l’usine mondiale d’armes à feu. Le Canada n’est ni l’Australie, ni l’Angleterre, ni le Japon. Nous ne vivons pas sur une île perdue du Pacifique. Nous avons la plus grande frontière terrestre non gardée et notre voisin est le pourvoyeur mondial de pistolets en tous genres. Que le gouvernement libéral continue d’écouter les pleureuses de Polytechnique qui gagnent bien leur vie en jouant les victimes éternelles devant les caméras et les diseuses de bonne aventure qu’il a réquisitionnées pour les conseillers (sic) et il fonce droit dans le mur. Et la saisie, l’hiver dernier, des quelques 600 pistolets mitrailleurs et silencieux fabrication maison, à Montréal, donne déjà une idée de ce qui s’en vient.

Je suis dans les armes à feu depuis mon adolescence. J’ai publié une multitude de livres sur le sujet, j’ai pratiqué l’armurerie professionnelle pendant 25 ans, et j’ai été en mesure de constater à quel point les choses ont évolué et vont vite dans ce secteur. Vous avez pas idée ! Déjà, sur YouTube, on peut avoir des vidéos à l’infinie et complètes qui montrent comment fabriquer son pistolet dans sa remise. Efficacité assurée, discrétion totale et impossibilité de contrôle.

Il ne suffit pas de le dire en campagne électorale, il faut le réaliser. Et ce n’est pas avec un projet de loi qui tire sur vos bons sujets que vous allez améliorer la sécurité des Canadiens, mais en vous en faisant des alliés. Car ce sont eux, ces honnêtes citoyens, ces chasseurs, ces tireurs sportifs et ces collectionneurs respectueux des lois qui peuvent réellement aider. Pas en les matraquants de lois liberticides qui aiguisent leur méfiance à l’égard du gouvernement et qui n’auront aucune incidence sur les criminels armés illégalement. Mais en les amenant à contribuer avec l’Etat et la Justice à contrer cette criminalité grandissante. Comprenez que nous ne sommes pas vos ennemis, mais vos meilleurs alliés...

Akakia

mercredi, juillet 25, 2018

Violence et armes à feu au Canada – Ce que le gouvernement Libéral et les journaux évitent de nous dire !



Selon les plus récentes données statistiques officielles publiées tout dernièrement par Statistiques Canada, l’augmentation du nombre de crimes violents commis dans notre pays au moyen d’armes à feu est en nette progression depuis quelques années. Dans cette suite de constats qui méritent toute notre attention, personne ne s’étonnera donc d’apprendre que les milieux les plus touchés sont les grandes villes et que cette violence armée est plus particulièrement propagée par les gangs qui courent les rues de ces mêmes métropoles, dont Toronto et Vancouver pour ne nommer que les plus durement touchées.

« Même si les taux globaux actuels de criminalité au Canada sont largement inférieurs à ce qu’ils étaient il y a quelques décennies », rapporte Statistiques Canada, « pour la troisième année consécutive, le nombre total d’homicides commis à l’aide d’armes à feu a augmenté au Canada, pour atteindre 223 en 2016, soit 44 de plus qu’au cours de l’année précédente ».

Depuis le dépôt du projet de loi C-71, fin du dernier printemps, le gouvernement Libéral de Justin Trudeau, le ministre Goodale et les zélotes gauchisants du mouvement anti-armes à feu en tête sans oublier Philippe Couillard, n’ont eu de cesse de pointer en direction des armes à feu pour justifier le resserrement des lois à leur endroit. Jusque là, tout va pour le mieux pour ces souteneurs du projet de loi liberticide qui, dans leur croisade, reçoivent l’appui inconditionnel des médias traditionnels, dont Radio-Canada (titulaire d’une subvention de 700 M$ du gouvernement Trudeau) et La Presse en tête, les organes officiels et radicalement gavés des Libéraux ! Quand le coupable désigné est un objet de métal qui n’est pas capable de se défendre et que les médias sont absolument incapables de faire la distinction entre un fusil et une carabine, une arme semi-automatique et automatique, on comprend que le débat est pourri à la racine des mots.

Pour ma part, déformé par mon habitude d’historien formé pour questionner les faits au-delà du visuel, j’y décèle l’absence totale d’une analyse à la fois soucieuse de vérité, ouverte au vrai débat d’idées et essentiellement guidée par la voix du bon sens. Questions : Pourquoi cette violence aujourd’hui et pas hier ? Quelles sont les origines ethniques et culturelles des auteurs de cette violence ? En pointant les armes à feu, et rien que les armes à feu pour coupables, se pourrait-il qu’on ait délibérément voulu nous induire en erreur pour camoufler des errances de l’actuel gouvernement en vertu d’un autre phénomène qui accompagne cette violence armée dans notre société, soit l’ouverture des frontières à une immigration incontrôlée, la montée progressive de l’immigration venant des pays déjà en proie à la guerre et à la violence armée ?

Regardez bien le plus récent graphique publié sur l’immigration au Canada (pièces jointes). Vous allez y trouver de quoi troubler votre réflexion sur le sujet. La question peut être posée sous des angles multiples et le maire de Toronto, le ministre Goodale, La Presse et Radio-Canada ne s’en privent pas. Pour eux, un seul coupable tout désigné, l’arme à feu ! Pour ma part, j’y trouve un grand absent sur la scène du crime : la progression ininterrompue et incontrôlée de l’immigration dans notre pays, l’arrivée au pouvoir des Libéraux et la mutation socio-historique provoquée et programmée par les bisounours qui nous gouvernent.

Akakia