Les délires d'Akakia

vendredi, août 24, 2018

Armes à feu et chiens dangereux : le discours contradictoire et hypocrite des élus


Ce n’est pas une arme à feu qui a mutilé de la sorte ce petit enfant, à Montréal, la semaine dernière, mais un chien pitbull. Mme Plante, M. Couillard, Mme Massé, M. Legault, vous étiez tous pour le registre des armes à feu et tous contre le contrôle des chiens dangereux. A mes yeux vous êtes tous coupables d’incohérence et de populisme. Ce petit enfant vous en doit une...

jeudi, août 23, 2018

Chien dangereux et armes à feu : la queue qui mène le chien !


https://www.lautrevoix.com/actualites/2017/12/19/450-morsures-de-chiens-par-jour-au-quebec.html
Chaque année, 164 000 morsures de chiens sont enregistrées au Québec seulement et, de ce nombre, la moitié l’ont été par le chien de la famille. Et ce n’est pas moi qui le dit, mais bien la très sérieuse et très officielle Association des médecins vétérinaires du Québec. Imaginez ! 450 morsures de chiens par jour au Québec ! Et où est Heidi Rathjen ? Que fait la mairesse de Montréal ? Au lieu de resserrer les règles pour diminuer cette violence faite surtout aux enfants par ces animaux domestiques. Au lieu de resserrer le règlement interdisant les pitbulls dans l’espace municipal de Montréal, elle subroge ledit règlement et se retourne vers le fédéral pour lui demander de bannir toutes les armes de poing et les fusils semi-automatiques de l’espace canadien.

Comprennent qui veut dans ce monde de fou qui passe la nuit sous la pluie pour pouvoir entrer à l’ouverture officielle d’un premier magasin IKEA grande surface au Québec ! Car ce sont ces mêmes personnes en poste et fonction, ce sont ces mêmes mégères castrantes qui, lors de la Commission parlementaires instituée par les Libéraux du Québec pour nous rentrer dans la gorge le registre des armes à feu, ont osé nous faire la leçon. Rappelez-vous seulement le mémoire vertueux des mouvements féministes associés en un seul bloc de pression, mémoire ahurissant dans lequel elles se sont données le rôle de... « protectrices naturelles des enfants » (sic).

La fin de semaine dernière, à Montréal la ville qui se prend pour une métropole, deux enfants à bas âges ont été sauvagement mutilés par un pitbull adopté par la grand-mère qui en avait la garde. Interrogée sur sa responsabilité concernant ce triste et cruel événement, la mairesse Valérie Plante, en ahurie qu’elle est, s’est dite « extrêmement troublée » et en « appelle à la responsabilité des maîtres ». Rien que ça ! Même pas l’ombre d’une repentance et d’une prise en charge de la situation. La queue qui mène le chien !

Akakia

lundi, août 20, 2018

Justin Trudeau perd les pédales à Saint-Jean-sur-Richelieu

Question de la dame à Justin Trudeau : « Je voudrais savoir quand vous allez nous remettre les 146 millions qu’on a payé pour vos immigrants illégaux ? »

Réponse de Justin, à la dame : « Madame, cette intolérance par rapport aux immigrants n’a pas sa place au Canada », a-t-il hurlé dans son micro. « Madame, vous n’avez pas votre place au Canada, votre intolérance N’A PAS SA PLACE ICI ! ». « Nous sommes des libéraux, ici, madame. Nous sommes POUR LA DIVERSITÉ !!! »


Écoutez plutôt la totalité de la vidéo et rendez-vous compte...
https://www.youtube.com/watch?v=lm82Y9mx6eI](https://www.youtube.com/watch?v=lm82Y9mx6eI)

LÀ, IL DEVIENT CARRÉMENT DANGEREUX ! Quand un chef d’État se commet ainsi, d’une manière aussi autoritaire devant une citoyenne qui lui pose une question somme toute assez banale. Quand un chef d’État se laisse dominer de la sorte par ses émotions et devient hystérique, c’est qu’il a perdu le contrôle sur la réalité et qu’il vient d’entrer dans la peau d’un dictateur !

Écoutez cet extrait du discours qu’il a livré à Saint-Jean-sur-Richelieu, jeudi, 17 août 2018, et commencez à vous inquiéter ! Nous venons de voir le visage que Justin avait jusqu’ici réussi à cacher sous son maquillage et ses costumes de clown. Le dictateur est en train de sortir de cet épouvantail de premier ministre. Derrière Castro qu’il adule, il y avait de l’intelligence et un projet de société ; derrière Justin, rien de tout ça sinon donner le Canada aux immigrants et ça devient franchement inquiétant pour notre démocratie. Nous sommes en présence d’un type qui a un problème de santé mentale et qui doit consulter un psy au plus vite...

Et ce qu'il y a de plus inquiétant dans cette affaire d'intérêt public, c'est de voir comment Radio-Canada (récipiendaire d'une subvention de 700 M$ par ce même Trudeau) a lénifié le sujet qu'elle ne pouvait plus taire en raison de la diffusion virale sur les réseaux sociaux. Tout ce que nous avons pu voir au téléjournal, trois jours plus tard, c'est un maigre extrait de la vidéo, alors que le premier ministre, visiblement en manque de contrôle, n'avait pas encore entrepris sa diatribe contre la dame. Comme radio d'État pourrie, impossible de trouver mieux. On se croirait au téléjournal officiel à la télé de Pyongyang !

Akakia

mercredi, août 08, 2018

Les Indiens du Québec et l'appropriation culturelle. Mon oeil !


Figurants ilnuths, lors du  pow wow de Mashteuiatsh de l'été 2018. Du grand art d'appropriation culturelle !
 Selon Natasha Kanape, porte-parole ilnuth du Festival de contes et légendes Atalukan de Mashteuiatsh qui a dénoncé et permis la mise à mort de la pièce de théâtre « Kanata », Robert Lepage et sa collaboratrice n'ont rien compris. « Il ne voulait pas entendre ce que nous avions à dire », dit-elle aux journalistes venus l’interroger sur l'entrefaite, « et il pensait clairement que sa liberté de création primait sur nos droits. » 

C’est donc là où nous en sommes rendus avec le misérabilisme autochtone, la censure imposée au monde de l'art au nom du respect des cultures et du vivre ensemble ! Au Québec, cela est un fait de plus en plus dérangeant, l’industrie de la victimisation est en pleine croissance. Elle n’aura jamais été aussi prospère, jamais été plus puissante dans ce monde de rectitude qui travaille fort ces jours-ci pour nous faire oublier le sens premier de l’art et contraindre à son extrême limite le champ, jadis infini, de la création. 

En ce qui me concerne et croyez-moi si je vous le dis : dans cette histoire, on ne peut sombrer plus dans l’appropriation culturelle que les Indiens du Québec. Ils ont pris l’accoutrement des Indiens du Sud-ouest des Etats-Unis dans les pow wows qu’ils ont empruntés aux Indiens des Grandes Plaines. Ils sculptent des mâts totems appartenant aux Indiens de la côte du Pacifique sans tenir compte de la symbolique sacrée qui y est attachée. Il vendent dans leurs kiosques touristiques des capteurs de rêves et autres objets spirituels empruntés à une multitude de communautés culturelles autochtones venant des quatre coins de l'Amérique et totalement étrangers, d’un point de vue ethnologique et historique, à leur culture ancestrale. S’affubler de clochettes aux pieds, de coiffes siouses ou d'une tête d'ours et participer, au son des tambours de guerre, à la danse du Soleil devant les touristes en gougounes qui en redemandent, si ce n’est pas de l’appropriation culturelle je me demande bien ce que c’est. Et aucun historien, aucun ethnologue, aucun anthropologue qui aurait un tantinet de courage pour sortir de ce faux discours et remettre un peu d’ordre dans tout ça.

L’histoire de l’autochtonie au Québec, une fumisterie accréditée par les universités, bénie par les Indiens qui y trouvent la bonne part de leurs profits, et cautionnée par l’Etat pour écarter des pouvoirs de décision les Peuples fondateurs, les Métis et tous les autres. Quand on peut s'approprier le territoire national en traitant avec quelques chefs avides de subventions sans tenir compte du droit à la terre de tous ceux et celles qui l'habitent depuis des temps immémoriaux. Quand on veut vider la forêt de ses occupants séculaires et démolir les camps de chasse des Métis pour concéder les ressources naturelles aux multinationales, la méthode est incontestable et la raison d'État est vouée à tous les succès, même devant les plus hauts tribunaux du pays...

Akakia

samedi, août 04, 2018

Jagmeet Singh, kirpan et armes de poing, deux poids deux mesures selon qu'on soit de culture sikhe ou de souche...

Jagmeet Singh et un co-légionaire pendant qu'il réclamait, au nom de sa culture, de sa religion et de son histoire, le droit de porter un kirpan en tout temps et même dans les avions.

Jagmeet Singh demande au gouvernement Trudeau de bannir les armes de poing des grandes villes comme Toronto. Pour un chef de parti originaire de Toronto qui a guerroyé fort pour obtenir le droit de porter un kirpan même dans les avions, faut le faire !

Quand je vous dis que le Canada a perdu le contrôle sur la réalité, je ne plaisante pas. Singh est issu d’une communauté culturelle de migrants de la dernière heure. Nous les avons accueillis à bras ouverts, nous leur avons ouvert toutes les portes, nous leur accordons le droit d’aspirer aux plus hautes fonctions dans ce pays. Et tout ce que ce type trouve bon à faire pour remercier le peuple qui l’a accueilli, c’est de nier notre culture, nos habitudes de vie et nos besoins à nous. C’est le monde à l’envers. Et c’est comme ça qu’on crée la haine, la mésentente et le racisme...

Akakia