ARMES À FEU QUÉBEC, UNE ASSEMBLÉE NATIONALE JUGE ET PARTIE - CELA NOUS CONCERNE TOUS... Y COMPRIS LES ANTI-ARMES !
(Partagez, mon message doit devenir viral, il faut que mon point de vue soit lu et qu’il se rende sur le bureau du P.M.)
Vous êtes propriétaires d’une automobile Chevrolet 1937 ou une Camaro SS, vous aimez les vieux chars, et vos rencontres annuelles. Vous êtes amateur de chasse et rien ne vous empêcherait de prendre à vos frais deux semaines de vacances pour prendre le bois avec votre fusil. Vous aimez la boxe et la faites pratiquer à vos enfants pour qu’ils soient en forme et qu’ils apprennent à composer avec les agressions de la vie. Vous aimez les sports extrêmes, les chiens berger allemand, sauter en parachute, faire du bungee, etc. Quoi que vous aimez, lisez bien la suite....
Tout ça est bien ! Mais imaginez-vous maintenant que le sport que vous pratiquez, un groupement quelconque au Québec décide que c’est un sport ou une activité rétrograde, qu’elle est un risque pour l’usager et qu’il faut que ça cesse. Vous aimez faire de la moto. Vous vous dites que ça n’a pas de bon sens, mais à l’Assemblee nationale du Québec, voilà que les quatre parties qui y siègent déposent une motion de votes pour interdire ce sport ou cette activité. Eh bien vous êtes cuit ! Car vous ne l’aviez pas vu venir, et vous n’aviez aucune chance puisque l’Assemble nationale, contrairement, à sa fonction et à sa mission de représenter tous les citoyens, n’aura pas été un lieu de débat dans lequel on aurait pu entendre les arguments non seulement des pros-lois mais aussi des usagers dont les droits viennent d’être bafoués magistralement et foulés au pied par ceux-là et celles-là même qui ont été élus pour défendre vos droits.
Cette situation est anormale et totalement incompatible avec la démocratie. Mais c’est pourtant exactement ce qui arrive aux propriétaires légaux d’armes à feu, aux collectionneurs, tireurs sportifs et chasseurs au Québec. Alors que le premier ministre de l’Alberta a fait voter une loi pour défendre ses propriétaires d’armes à feu du dernier coup de torchon libéral fédéral, nous, au Québec, notre Assemblé nationale, premier ministre et chefs de l’opposition en tête, disent qu’il ne va pas assez loin et demandent, PAR UNE MOTION VOTÉE À L’UNANIMITÉ, encore plus de resserrements.
Trouvez l’anomalie ! Un droit qui est né avec le pays, voilà 500 ans, celui d’avoir des armes à feu en toute légitimité et légalité et qui est pratiqué par des dizaines de milliers de citoyens honnêtes depuis des temps immémoriaux, vient d’être passé dans la déchiquetteuse à libertés par un vote unanime de l’Assemblée nationale. Comme pour l’affaire du registre inutile, dans ce salon du peuple pas un des quatre partis politiques pour offrir une voix parlementaire dissidente. Ils se sont tous ligués contre nous, pourtant honnêtes citoyens respectueux des lois ; comme en Chine, comme en Union Soviétique, comme dans les dictatures arabes. Personne pour nous représenter, porter notre voix, modérer la discution et y mettre un peu de bon sens. Même pire. Ces voleurs de démocratie ont tous les médias avec eux, Radio-Canada, TVA, La Presse, Le Devoir, la Fraternité des Policiers du Québec, l’Assiciation des chefs de Police, les Universités, l’hôtel de ville de Montréal et son opposition, l’hôtel de ville de Québec et son opposition, etc., etc...
Je vous explique en deux mots. Tous les propriétaires d’armes à feu au Québec présentement, vivent ce que vit une personne amenée devant le juge pour répondre d’un délit qu’elle n’a pas commis, mais le hic ! c’est que devant le juge il n’y a que quatre procureurs de la couronne qui se sont entendus pour le condamner et, en plus, le juge lui refuse d’être représentée par un avocat de la défense. Qu’elle sera la sentence d’après vous ? Eh bien c’est exactement la situation des propriétaires d’armes à feu, tireurs sportif et chasseurs.
COMCLUSION, PUISQUE NOUS NE SOMMES PAS PROTÉGÉS CONTRE LES DÉFAILLANCES ET LES ABUS DE CE SYSTÈME QUI SE VEUT TOTALITAIRE, PLUS PERSONNE N’EST PROTÉGÉE... Pour créer des criminels, c’est exactement ce qu’il fallait faire : boucher toutes les portes de sorties et acculer les gens au pied du mur...
Akakia