CHEMIN ROXHAM, LE CHEMIN DE LA HONTE !
Les Amerlocs nolisent des bus et paient le taxi à tous les immigrants qui ont compris comment utiliser la faille du Canada en matière de frontières. L’absurde au bout de la piste ! Ils arrivent, portables à l’oreille, des Nikes aux pieds et des sacoches Gucci à l’épaule. Je vois des enfants habillés comme des cartes de mode, des femmes coiffées à la dernière mode, des hommes frais comme des princes ouvrant le chemin vers ce pays de cocagne mené par des fous ! Et en plus, parce que nous sommes trois fois idiots par ceux et celles qui nous dirigent, nous les récupérons en leur serrant la main, leur servons un bouillon de bienvenue, leur donnons une chambre d’hôtel trois étoiles avec un copieux chèque en main, une carte d’assurance santé, etc. Avenir assuré…
Et pendant ce temps là, à Ottawa, les fonctionnaires et les élus nous répondent ne pouvoir rien faire pour arrêter cette invasion migratoire qui est en train de tout détruire sur son passage : nos acquis, notre culture, notre bien-être, une déferlante humaine qui refoule les peuples fondateurs à leurs derniers retranchements, sans droit de regard.
Vous imaginez seulement si nous étions la frontière sud avec le Mexique et que les Etats-Unis étaient à notre place ! Vous imaginez ! On devrait s’enfuir au sud du Mexique, là où se fabrique déjà la misère humaine que nous accueillons aujourd’hui, pour échapper à cette invasion inédite dans l’histoire du monde. Mais pas certain qu’on serait aussi bien accueillis que ceux que nous accueillons. Suis franchement dégoûté de cette déchéance imposée par les seules décisions d’un seul homme -Justin Trudeau- à qui nous avons confié par trois fois dans des votes d’une absolue stupidité, tous les pouvoirs politiques et financiers du pays.
On rit de nous en pleine face ! Les Américains nous chient dessus ! Et on ramasse leurs tas de merde ! Des élections pour régler le problème vous me direz ? A quoi bon ! Le système démocratique canadien est aujourd’hui totalement bloqué par le triumvirat politique qui élimine toute possibilité de revenir à l’alternance. En fait, j’en suis rendu à croire que ça s’arrêtera quand notre pays, surendetté, aura atteint le niveau de vie de l’Éthiopie, de Cuba et de l’Erythrée.
Akakia