Lois restrictives contre les armes à feu et féminisme au Québec et au Canada, voilà l'ennemi !
« J'ai été enterré sous des morts, mais maintenant je suis enterré
sous des vivants, sous des actes, sous des faits, sous la société tout
entière, qui veut me faire rentrer sous terre! » Chabert |
Oui, je l’ai bien dit, et ça fait des années que je le dis, l’écrit et publie. Comprenez-moi bien : je n’ai pas dit la « femme », mais le « féminisme » ! Entendons bien le « néofeminisme », cette doctrine de combat mortel, cette marche funèbre revancharde et réductrice à l’égard des hommes et qui est en train de faire d’eux des soubrettes.
Cinquante ans après avoir percé l’hymen des tavernes pour y faire entrer les femmes, il faut tout de même reconnaître que le concept de l’égalité hommes-femmes, qui était une véritable avancée en terme d’humanité, a finalement déraillé au point de pousser la moitié de notre humanité (celle des hommes) jusque dans ses derniers retranchements.
Dans cette nouvelle guerre de Conquête, le mouvement féministe aura été d’une redoutable efficacité, implacable et sans merci. Et au final, les hommes y auront perdu non seulement leurs prérogatives mais également leur liberté d’action au sein de la société, leur honneur et leur dignité. Comme dans le film culte consacré au « Colonel Chabert » merveilleusement joué par Depardieu, film dans lequel le héros des guerres napoléoniennes qui a survécu à la bataille d’Eylo est prié d’abandonner tous ses biens, châteaux et fortunes à son épouse qui, nullement satisfaite de lui avoir tout ravi, a entrepris de lui faire ravaler non seulement son acte de baptême mais également son honneur et sa dignité.
Au Québec, l’affaire a pris une tournure extrême dans la foulée et la suite du mouvement féministe qui s’est emparé d’un horrible drame, la tuerie de Polytechnique, pour en faire une arme de combat sans merci. Un combat livré contre les hommes qui ont encore le bonheur d’être du nombre et de détruire tout ce qui symbolise leur présence dans la société ; leurs petits penchants culturels, leurs petits bonheurs, leurs activités jusqu’alors sacrées et intouchables, telles la chasse, l’amour des armes à feu, leurs chars et leurs garages.
Akakia