lundi, août 20, 2018

Justin Trudeau perd les pédales à Saint-Jean-sur-Richelieu

Question de la dame à Justin Trudeau : « Je voudrais savoir quand vous allez nous remettre les 146 millions qu’on a payé pour vos immigrants illégaux ? »

Réponse de Justin, à la dame : « Madame, cette intolérance par rapport aux immigrants n’a pas sa place au Canada », a-t-il hurlé dans son micro. « Madame, vous n’avez pas votre place au Canada, votre intolérance N’A PAS SA PLACE ICI ! ». « Nous sommes des libéraux, ici, madame. Nous sommes POUR LA DIVERSITÉ !!! »


Écoutez plutôt la totalité de la vidéo et rendez-vous compte...
https://www.youtube.com/watch?v=lm82Y9mx6eI](https://www.youtube.com/watch?v=lm82Y9mx6eI)

LÀ, IL DEVIENT CARRÉMENT DANGEREUX ! Quand un chef d’État se commet ainsi, d’une manière aussi autoritaire devant une citoyenne qui lui pose une question somme toute assez banale. Quand un chef d’État se laisse dominer de la sorte par ses émotions et devient hystérique, c’est qu’il a perdu le contrôle sur la réalité et qu’il vient d’entrer dans la peau d’un dictateur !

Écoutez cet extrait du discours qu’il a livré à Saint-Jean-sur-Richelieu, jeudi, 17 août 2018, et commencez à vous inquiéter ! Nous venons de voir le visage que Justin avait jusqu’ici réussi à cacher sous son maquillage et ses costumes de clown. Le dictateur est en train de sortir de cet épouvantail de premier ministre. Derrière Castro qu’il adule, il y avait de l’intelligence et un projet de société ; derrière Justin, rien de tout ça sinon donner le Canada aux immigrants et ça devient franchement inquiétant pour notre démocratie. Nous sommes en présence d’un type qui a un problème de santé mentale et qui doit consulter un psy au plus vite...

Et ce qu'il y a de plus inquiétant dans cette affaire d'intérêt public, c'est de voir comment Radio-Canada (récipiendaire d'une subvention de 700 M$ par ce même Trudeau) a lénifié le sujet qu'elle ne pouvait plus taire en raison de la diffusion virale sur les réseaux sociaux. Tout ce que nous avons pu voir au téléjournal, trois jours plus tard, c'est un maigre extrait de la vidéo, alors que le premier ministre, visiblement en manque de contrôle, n'avait pas encore entrepris sa diatribe contre la dame. Comme radio d'État pourrie, impossible de trouver mieux. On se croirait au téléjournal officiel à la télé de Pyongyang !

Akakia