jeudi, avril 16, 2020

Cette pandémie sert bien la tyrannie

Et à la fin de sa rééducation, « IL ALLAIT BIEN » ! « IL AIMAIT BIG Brother »

Je viens de terminer ma punition Facebook. Une belle semaine à l’abri de cette prison virtuelle. Je vous avoue avoir très très apprécié l’expérience ! Ma mise en isolement n’a que du positif. Elle m’a fait renouer avec la tranquillité de l'esprit et elle m’a permis de me sevrer de cette addiction sclérosante. C’est pas possible comment on prend de mauvaises habitudes sans s’en apercevoir. Aucun regret de quoi que ce soit ! Disparue cette malveillante impression d’être épiée dans tous mes mouvements par l’œil de Big Brother. Pour ce qui est de tous ces commentaires qui m’ont valu cette mise en quarantaine, je persiste et  signe. Pas question de dire autrement ce que je conçois si bien face à cette pandémie et à ceux qui l’ont inventée, répandue et instrumentalisée pour asseoir leur pouvoir politique vacillant. Si j’ai le goût de dire des choses qui vont avec le fond de ma pensée, je vais procéder autrement, et j’utiliserai mon blogue (Les délires d’Akakia) pour y arriver. N’en ai rien à cirer de la censure ! Plutôt me taire que de dire faux.

Si vous voulez savoir pourquoi on m’a mise en quarantaine, il vous suffit d’aller sur mon blogue « Les délires d’Akakia », car n’ayant jamais voulu me mettre à la merci de Facebook et me soumettre à sa censure, j’ai toujours tenu à conserver ma liberté d’expression en maintenant actifs mes blogues et en y publiant mes meilleurs textes. Merci au morceau de robot derrière l’écran Facebook qui épie tous mes mouvements, et, en plus, s’est permis de venir m’insulter par messenger sans que je puisse lui répondre ! Vous m’avez vraiment rendu service en me faisant comprendre que je peux me passer de vous. Désolée pour mes fidèles lecteurs, désormais il faudra vous habituer à me lire moins souvent...

« Il regarda l’énorme face. Il lui avait fallu quarante ans pour savoir qu’elle sorte de sourire se cachait sous la moustache noire ». « Mais il allait bien, tout allait bien ». Et à la fin « il aimait Big Brother » ! C’est sur ces mots que se termine le livre d’Orwell, « 1984 ».

Akakia