L’ÉCHEC MONTRÉALAIS...
Gérard Bouchard, prendra le bâton du pèlerin, quelque part vers le mois de septembre de cette année, pour faire le tour des régions du Québec afin de « vendre » l’échec montréalais et resserrer les rangs de ses ouialles quitte à sacrifier encore une fois, la nation canadienne française sur l’autel de l’hypertolérance. Avec son compère Charles Taylor, ils essaieront d’abord de « comprendre » ce qui saute aux yeux de tout le monde : le rejet définitif du modèle montréalais de la part du Québec « profond », celui de l’arrière-pays, celui des canadiens français, des Indiens, des Métis et des Inuits. Les « VRAIS et les SEULS gardiens des valeurs et de la cultures des peuples fondateurs de ce pays.
Gérard Bouchard parlera au peuple de « choix », de « consensus social », « d’ouverture » et que sais-je encore . « Peut-être on s’est trompé pour vrai et alors il faudra réorienter nos choix... » dira-t-il placidement. « Le peuple n’a pas compris ses propres choix » dira-t-il encore . « Nous devons nécessairement arrimer nos façon de faire pour respecter nos choix sociétaux expansionnistes », ajoutera-t-il certainement. Or tout ce discours sur les choix sociaux ne cacheront jamais que la volonté du pouvoir politique montréalisant ( majoritaire à l’Assemblée Nationale) d’assujettir et de soumettre l’ensemble des territoires et de leurs populations, au modèle montréalais, désintégrateur, rapetisseur et nihiliste.
L’establishment montréalais n’a pas encore compris le message du Québec profond qui sourd de la position et de l’attitude des communautés de la Mauricie et d’ailleurs. Le Québec profond n’a pas fait de CHOIX ! Il a fait un CONSTAT ! Et suite à ce constat, il pose ses propres balises ENFIN ! Et il a tous les outils en main pour ce faire : la constitution, la charte des droits, des lois et des règles à la tonne ; pas besoin d’une commission d’enquête !
Le constat est donc le suivant à savoir, que les tentatives « d’insertion » et de « glissement » des peuples fondateurs dans le « cloaque » montréalais, issu des errances de l’élite intellectuelle québécoise, sont le tombeau de la culture du TIERS-QUÉBEC, le seul le vrai Québec ! Le Québec « distinct » ! Le Québec « Libre »!
Le peuple de ce Tiers-Québec se comporte noblement dans les circonstances. Il se pose en GARDIEN des vraies valeurs et de la vraie culture des fondateurs et des développeurs de l’Amérique et de ses territoires !
Ce n’est donc pas en parcourant les régions que Gérard Bouchard et Charles Taylor éclaireront les québécois mais en se concentrant sur Montréal, la métropole, ses peuples ses cultures...et ses choix ! Montréal doit, ou s’adapter aux discours des régionaux ou céder et périr sous la pression de ses nouveaux maîtres !
Richard Harvey
L’Ascension de N.S
Lac-St-Jean
Réaction de Marie-Mance Vallée :
En effet, nous devons être fiers des nôtres de Hérouxville qui ont osé dire ce qu'un certain pouvoir préférait cacher depuis des années.
Le temps du mépris est terminé.
Maintenant que le « Québec profond » s'est prononcé, il n'en tient maintenant qu'au « Montréal profond », s'il existe encore, à se faire entendre. Il est à espérer que le « Montréal profond » n'a pas déménagé au complet dans les couronnes sud et nord de Montréal.
Dans les faits, y a-t-il encore quelque chose à sauver à Montréal?????
Je me dis parfois que tout a été mis en oeuvre pour séparer Montréal du reste du Québec.
Gérard Bouchard parlera au peuple de « choix », de « consensus social », « d’ouverture » et que sais-je encore . « Peut-être on s’est trompé pour vrai et alors il faudra réorienter nos choix... » dira-t-il placidement. « Le peuple n’a pas compris ses propres choix » dira-t-il encore . « Nous devons nécessairement arrimer nos façon de faire pour respecter nos choix sociétaux expansionnistes », ajoutera-t-il certainement. Or tout ce discours sur les choix sociaux ne cacheront jamais que la volonté du pouvoir politique montréalisant ( majoritaire à l’Assemblée Nationale) d’assujettir et de soumettre l’ensemble des territoires et de leurs populations, au modèle montréalais, désintégrateur, rapetisseur et nihiliste.
L’establishment montréalais n’a pas encore compris le message du Québec profond qui sourd de la position et de l’attitude des communautés de la Mauricie et d’ailleurs. Le Québec profond n’a pas fait de CHOIX ! Il a fait un CONSTAT ! Et suite à ce constat, il pose ses propres balises ENFIN ! Et il a tous les outils en main pour ce faire : la constitution, la charte des droits, des lois et des règles à la tonne ; pas besoin d’une commission d’enquête !
Le constat est donc le suivant à savoir, que les tentatives « d’insertion » et de « glissement » des peuples fondateurs dans le « cloaque » montréalais, issu des errances de l’élite intellectuelle québécoise, sont le tombeau de la culture du TIERS-QUÉBEC, le seul le vrai Québec ! Le Québec « distinct » ! Le Québec « Libre »!
Le peuple de ce Tiers-Québec se comporte noblement dans les circonstances. Il se pose en GARDIEN des vraies valeurs et de la vraie culture des fondateurs et des développeurs de l’Amérique et de ses territoires !
Ce n’est donc pas en parcourant les régions que Gérard Bouchard et Charles Taylor éclaireront les québécois mais en se concentrant sur Montréal, la métropole, ses peuples ses cultures...et ses choix ! Montréal doit, ou s’adapter aux discours des régionaux ou céder et périr sous la pression de ses nouveaux maîtres !
Richard Harvey
L’Ascension de N.S
Lac-St-Jean
Réaction de Marie-Mance Vallée :
En effet, nous devons être fiers des nôtres de Hérouxville qui ont osé dire ce qu'un certain pouvoir préférait cacher depuis des années.
Le temps du mépris est terminé.
Maintenant que le « Québec profond » s'est prononcé, il n'en tient maintenant qu'au « Montréal profond », s'il existe encore, à se faire entendre. Il est à espérer que le « Montréal profond » n'a pas déménagé au complet dans les couronnes sud et nord de Montréal.
Dans les faits, y a-t-il encore quelque chose à sauver à Montréal?????
Je me dis parfois que tout a été mis en oeuvre pour séparer Montréal du reste du Québec.
10 Comments:
dit :
Dans une lettre d'opinion parue dans le Devoir de ce matin, Amir Khadir écrit ceci:
« Immigrés il y a plus de 300 ans de France ou d'Angleterre, ensuite, d'Italie ou de la Grèce, ou récemment du Rwanda ou du Bangladesh, nous avons appris à vivre ensemble. Nous avons partagé nos repas et nos fêtes. Et répété comme un engagement solennel les mots de notre poète: «Je crie avant que de me taire / à tous les hommes de la terre / ma maison c'est votre maison /... et les humains sont de ma race.»
Régulièrement,on tente de nous convaincre que nous sommes tous des immigrants, au même titre que le dernier des arrivants. Notre Histoire débuterait avec la révolution tranquille des années 60.
Il y a quelques années j'ai eu une discussion vigoureuse avec une conseillère, immigrante française, de la SSJB de Montréal justement à ce sujet. Elle prétendait que nous étions tous des immigrants.
Je vois que cette réduction de notre existence et ce, à sa plus simple expression, a fait du chemin depuis, dans certains milieux, que je croirais montréalais.
J'ai toujours eu la conviction que nous étions le peuple (Canadiens français et Métis) fondateur et intégrateur de ce pays.
Questions:
1) Quelle est cette nouvelle idée de nous transformer en immigrants???
2) Quel but vise cette idée que nous serions tous des immigrants?
3) Croyez-vous que le Québec profond acceptera de se faire qualifier d'immigrants? Je ne croirais pas.
4) Que dit-on aux immigrants à notre sujet?
M. Bouchard (Russel) ou M. Harvey, compte tenu que la santé me fait défaut ces temps-ci, pourriez-vous mettre fin à cette ineptie, cette hérésie avant qu'il ne soit trop tard et qu'on finisse par convaincre les Canadiens français et les Métis, et particulièrement les Montréalais de souche française, qu'ils ne sont que des immigrants.
Je crois qu'une mise au point s'impose.
Quant à moi, à titre de Métisse et de Canadienne française, je refuse de me laisser traiter ainsi. Je ne suis pas une immigrante; j'appartiens au peuple fondateur de ce pays.
dit :
Regardez aussi, dans le même journal. On présente comme un projet d'idéal le fait d'un... métissage de la population du Québec. Ça, c'est encore une manière d'éliminer l'esprit des peuples fondateurs (Métis notammement) en les banalisant dans un tout inodore mondialiste.
Je regrette, mais la descendance d'un néo-canadien qui débarque ici et qui épouse une québécoise (ou vicé versa), n'aura strictement rien de commun avec le Métis que je suis. Moi, mon métissage, il part des mânes de cette Terre d'Amérique, à une époque où deux humanités se sont percutées pour en former une troisième. C'est complètement différent. Je suis prêt à l'accueillir, mais pas à mourir dans lui, dans sa renaissance à lui.
Mais il n'empêche que c'est là le piège ou cette fameuse commission d'enquête risque de nous ammener. Il va falloir être extrêmement vigilants et très critiques de ces délires.
Le débat, parti comme il est, est en train de dégénérer au lieu de rapporcher les vues.
Russel Bouchard
dit :
OUi, j'ai bien lu cet article au sujet des Métis. C'est un autre sujet qu'il faudra désamorcer.
Il devient de plus en plus évident qu'on tente de nous tirer le tapis de sous les pieds, de nous banaliser, de nous occulter.
Nous sommes tous des immigrants; et maintenant nous sommes tous des Métis et alouette. On nous donne un nouveau titre celui d'immigrants et on récupère celui de Métis pour mieux nous faire disparaître.
Mondialiser les identités, voilà ce qu'on tente de faire... À qui profite le crime?????
Une chose est certaine, notre élite est si puérile et naïve qu'il faudra être très vigilants, sinon, nous passerons à la casserole.
dit :
Il existe, aujourd’hui et pour toujours( !) une distinction fondamentale entre être d’origine mixte, et être Métis au sens de la culture et de la tradition Nord-américaine du terme. Les Métis d’ici sont des gens d’origines mixtes, européenne ( des premiers contacts) d’une part,et des indiens d’Amérique de la même époque d’autre part, toujours en considérant l’aspect de continuité historique à travers le temps et l’espace qui en fait aujourd’hui comme hier un « peuple » avec une culture « distinctive », possédant des droits fondamentaux spécifiques inhérents à sa condition de peuple autochtone canadien.
À noter particulièrement que cela à été conforté et confirmé par l’ajout de l’article 35 de la Constitution canadienne de 1982 qui garantit le respect des droits ancestraux et territoriaux des Indiens , des Inuits et des Métis du Canada en tant qu’autochtones de ces territoires.
L’identité « Métis » a été de plus codifiée, en la Cour Suprême du Canada en 2003 dans le jugement Powley. C’est comme ça qu’il faut voir les choses. Il n’y a aucune liaison à faire avec le racisme ou la xénophobie. Ceux qui le font se cherchent des poux et sont très mal renseignés sur les réalités sociopolitiques, économiques et historiques des Métis du Québec, du Canada et de l’Amérique toute entière.
Il n’y a donc pas de rapport entre les Métis que nous sommes et l’association au statut d’immigrants dont il semble qu’on veuille nous étiqueter pour diluer le concept et nous faire « glisser », nous insérer dans un « tout » incolore et inodore, comme vous le dites si bien Russel.
On se sert des même « clés » dont on s’est servi pour détricoter la nation canadienne française. Pour l’heure cependant, les voleurs de pays et leurs sbires intellectuels québécois ne peuvent que tenter d’influencer l’opinion publique. Or le débat idéologique, pour nous n’existe pas. Notre démarche est basée sur des fondements de droits constitutionnels et Amir Khadir peut toujours m’inviter à dîner, je me demande toujours à quel titre d'ailleurs il nous interpelle ce zig, j’en ai rien à foutre ! Je n'ai pas mémoire d'avoir " tiré les vaches" avec ce type!
dit :
Çà y est!
Louis Bernard a retiré le texte de Russel sur son blogue!
Çà donne une bonne idée du comment seront traités les opinions du peuple à cette commission!
dit :
Louis Bernard est un spécialiste des cachoteries, du consensus (le sien et celui de ses amis). En fait, il est le prototype même du « grand mandarin » des années 60.
Rappelez-vous son attitude dans les négociations sur l'Approche commune...
Il est un partisan de la tyrannie des minorités et de l'ambiguïté créatrice...
dit :
J'ai reçu une explication du pourquoi le texte a été retiré du site à Louis Bernard:
Trop de notes!
Comme dans Amadeus!
On m'a même prié de mettre moins de mots la prochaine fois!
C'est vrai qu'avec les milliers de messages postés sur le site de M. Bernard, le serveur doit être à sa limite! :)
Sa limite de caractères! :)
Trop de notes!
dit :
Quand on dit comme eux, il n'y a jamais trop de notes.
Russel
dit :
Début 18 ième,
« ...L’attrait des grands espaces, l’aventure, la liberté achevaient d’attirer et de séduire les Canadiens autant que d’inquiéter les autorités et les missionnaires.
Mais on ne pouvait rien y faire. Le Blanc avait besoin de l’Indienne pour sa vie, sa survie, l’établissement d’un climat de confiance, la mise en place d’un réseau. Les Indiens en général, ont le sens de l’adoption. Les Canadiens se fondent parmi eux, s’indianisent et amorcent un profond mouvement de métissage.
La Nouvelle-France se maintient non par le nombre mais par un extraordinaire réseau d’alliances et une réelle convergence d’intérêts... »
America, l’expédition de Lewis&Clark, Denis Vaugeois, Septentrion 2002.
dit :
",,,La Nouvelle-France se maintient non par le nombre mais par un extraordinaire réseau d’alliances et une réelle convergence d’intérêts... » (!)
Humm!...ouais!
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