jeudi, avril 21, 2022

La mort du français au Québec, un héritage dilapidé par nos propres manquements. Un choix politique !

 


UN HÉRITAGE DILAPIDÉ PAR NOS PROPRES MANQUEMENTS

Dans le tout Québec, dans tous les partis politiques, on s’émeut beaucoup par les temps qui courent pour la sauvegarde et la mort lente du français. Si j’avais publié en anglais je serais millionnaire. J’ai tenu à le faire en français pour notre langue, pour nous. Et aucun parti politique n’a jamais soutenu mes efforts. Plus de 70 bouquins sur notre histoire et en français, et pas la moindre reconnaissance de l’intérieur. Que Legault et les autres partis politiques cessent de gémir sur ce mauvais sort que l’histoire nous a lancé le 18 septembre 1760. Ils reconnaissent seulement ceux qui leur apporte des voix aux quatre ans et se fichent bien de la suite du monde qui nous concerne. Ils n’en ont que pour leur présent. Ils se félicitent d’avoir réussi leur vie quand ils ont réussi à se vendre aux étrangers.

Pour ma part, j’ai tout donné ce que je pouvais donner pour perpétuer notre mémoire et pérenniser  notre belle langue française. J’ai le sentiment d’avoir fait ce qu’il fallait. Je m’accommode du reste. Mon prochain volume sera probablement mon dernier, faute d’aide et d’appui financier. Il est en route. Le titre : « Héritage d’un Royaume - L’allée des oubliés de notre histoire ».

Russel-Aurore Bouchard (Akakia)