mercredi, avril 03, 2019

Lois liberticide contre les propriétaires d'armes à feu en Nouvelle-Zélande

APRÈS LA NOUVELLE-ZÉLANDE, LE CANADA : 119 députés pour, 1 député contre. L’ombre de Staline n’est pas bien loin...


La Nouvelle-Zélande vient de passer sa loi et le Parti libéral du Canada dit vouloir les suivre dans ce délire liberticide. Ne vous faites pas d’illusion, cette loi que la NZ vient de passer était préparée depuis fort longtemps. Le pouvoir n’attendait qu’une occasion et ils l’ont eu : 119 députés ont voté pour à deux mains sur 120. C’est à une voix seulement du régime de Piongyang ! Et il s’en trouve plein de Québécois et de Canadiens pour dire que c’est un grand jour pour la liberté et la démocratie.

Certaines langues sales prétendent que les apparatchiks de la NZ auraient même joué un rôle quelconque derrière ce triste événement. À vrai dire je n’en sais rien mais, à voir comment la violence institutionnalisée tourne ces jours-ci partout à travers la planète, je n’en serais pas surpris du tout si cela était avéré. Conséquences de la nouvelle loi : bannissement des armes semi-auto, des fusils à pompes, des carabines 22 sa, des pièces d’armes à feu, contrôle des munitions etc. Instauration d’un registre national, durcissement pour obtenir un permis de détention, etc., etc., etc. En fait, presque toutes les armes à feu sont interdites, sauf exception pour les personnes qui réussiront à surmonter le lot d’épreuves préparées pour obtenir un simple permis de possession.

Comment expliquer un tel dénouement ? Pas difficile. Les possédants veulent conserver leurs trésors et ne pas le partager. Ils ont peur du peuple qu’ils dépouillent par leurs excès, par des salaires faramineux et par l’accumulation de la richesse. Cela étant, Ils ont peur que les peuples se soulèvent comme en France en 1789 et en Russie en 1917, et ils ont entrepris, par les pouvoirs politiques dont ils sont également les détenteurs, de les dépouiller de leurs armes, jusqu’à la dernière. Dans un tel contexte, il n’y a rien d’étonnant de voir des médecins payés 750,000$ par année prendre part au défilé des profiteurs et des gras durs dirigé par Polysesouvient, Trudeau, Radio-Canada subventionné à concurrence de 690 M$ par Trudeau ainsi que La Presse, les deux organes officiels du PLC.

Si vous ne trouvez pas le moyen de les arrêter de faire des lois liberticides dans leur folie du pouvoir, comme ce fut le cas dans tous les pays totalitaires de l’histoire, nous sommes cuits ! Nous allons tous perdre cet ultime droit qui est celui de la Liberté. Un droit historique pour les Canadiens.

Dépouillés de nos armes à feu, nous cessons d’être des citoyens libres pour passer à l’état de servage et d’esclaves. Dans notre culture, ces objets ont valeur de symbole et contribuent à ce fort sentiment de liberté qui est propre à l’Amérique du Nord.Laissez faire le Parti libéral du Canada comme il est parti, et nous y sommes presque. Ils ont assez des trois derniers mois de pouvoir qui leur restent pour terminer leur sale besogne. Et devant un tel abus d’autorité, il n’y a pas d’autres solutions : il faut se lever debout, dire non, et résister en ne répondant pas à leur diktat totalitaire. Si c’est cela de la désobéissance civile, alors désobéissez civilement pendant que vous en avez encore la capacité. Car, si cette option que je n’ai jamais soutenue, est valide pour les maires des banlieues de Montréal qui proposent la désobéissance civile à la loi sur les signes religieux, je ne vois pas pourquoi le bon peuple des régions se priverait de suivre leur exemple sur la question de ce bien et de ce droit qui leur appartient depuis 500 ans.

Akakia