La mort du Tyran !
Du haut de son esplanade au Sommet de la Francophonie sur l'île de Madagascar, Justin Trudeau, notre Premier ministre (encore pour trois longues années (ouf !)), a pris le monde entier à témoin pour s'attrister de la mort de son "ami" Fidel et pour adresser ses condoléances aux Cubains en son nom et en celui de tous les Canadiens. Vous prie de retirer instamment mon nom et celui de ma famille de la liste de la foule des laudateurs de ce tyran qui a persécuté son peuple, tué la dissidence, mis en prison tous ceux et celles qui ne pensaient pas et ne disaient pas comme lui, qui a pourchassé, mis en prison, persécuté les homosexuels et fait reculer les droits de l'homme dans les abysses du détroit de la Floride..
Avez-vous remarqué qu'aucun Syrien, aucun Soudanais, aucun Haïtien, aucun Lybien, aucun Dominicain, aucun Mexicain poursuivi par les cartels de la drogue, aucun déshérité de ce monde n'a risqué et ne risque sa vie en mer pour aller faire le pied de grue devant les ambassades de Cuba afin d'obtenir l'asile politique ?
Si la révolution cubaine était une si grande réussite comme le soutiennent Trudeau, Lanctôt et consorts. Si la vie a été si paradisiaque à Cuba sous Fidèle, comment se fait-il, a contrario, que des milliers de ressortissants Cubains ont risqué leur vie et quitté l'île pour aller grossir les rangs de leurs compatriotes exilés sur les plages de la Floride dans l'espoir d'une vie meilleure ?
N'en déplaise à Jacques Lanctôt qui n'en finit pas d'encenser son hôte en fustigeant tous ceux et celles qui ne le voient pas d'un même œil. N'en déplaise à ceux et celles qui, ce matin, le rejoignent dans son requiem, je comprends que la liberté n'a pas la même signification pour tous, mais il y a tout de même une épaisse ligne rouge à tirer entre la qualité d'un révolutionnaire comme Nelson Mandela qui a libéré son peuple du joug de la tyrannie sans tirer une balle et sans s'accrocher au pouvoir, et un Castro qui a dominé sans partage sur son peuple pendant près d'un demi-siècle, qui a levé des pelotons d'exécution pour éliminer ceux qui minaient son pouvoir et qui s'est imposé par la brutalité et par la force des armes.
La santé et l'éducation comme on la vante à Cuba, oui, je veux bien. Mais pas au prix des droits de l'homme et de la Liberté comme moi je la conçois. Désolée, mais mieux vaut crever dans un CHSLD à manger des patates en poudre comme cela risque de m'arriver, que d'être coincée sur une île où le temps s'est arrêté à l'année 1959 et qui, ce matin, pleure son tyran comme un chien pleure sa chaîne qui vient de se rompre sous l'effet de la rouille...
Avez-vous remarqué qu'aucun Syrien, aucun Soudanais, aucun Haïtien, aucun Lybien, aucun Dominicain, aucun Mexicain poursuivi par les cartels de la drogue, aucun déshérité de ce monde n'a risqué et ne risque sa vie en mer pour aller faire le pied de grue devant les ambassades de Cuba afin d'obtenir l'asile politique ?
Si la révolution cubaine était une si grande réussite comme le soutiennent Trudeau, Lanctôt et consorts. Si la vie a été si paradisiaque à Cuba sous Fidèle, comment se fait-il, a contrario, que des milliers de ressortissants Cubains ont risqué leur vie et quitté l'île pour aller grossir les rangs de leurs compatriotes exilés sur les plages de la Floride dans l'espoir d'une vie meilleure ?
N'en déplaise à Jacques Lanctôt qui n'en finit pas d'encenser son hôte en fustigeant tous ceux et celles qui ne le voient pas d'un même œil. N'en déplaise à ceux et celles qui, ce matin, le rejoignent dans son requiem, je comprends que la liberté n'a pas la même signification pour tous, mais il y a tout de même une épaisse ligne rouge à tirer entre la qualité d'un révolutionnaire comme Nelson Mandela qui a libéré son peuple du joug de la tyrannie sans tirer une balle et sans s'accrocher au pouvoir, et un Castro qui a dominé sans partage sur son peuple pendant près d'un demi-siècle, qui a levé des pelotons d'exécution pour éliminer ceux qui minaient son pouvoir et qui s'est imposé par la brutalité et par la force des armes.
La santé et l'éducation comme on la vante à Cuba, oui, je veux bien. Mais pas au prix des droits de l'homme et de la Liberté comme moi je la conçois. Désolée, mais mieux vaut crever dans un CHSLD à manger des patates en poudre comme cela risque de m'arriver, que d'être coincée sur une île où le temps s'est arrêté à l'année 1959 et qui, ce matin, pleure son tyran comme un chien pleure sa chaîne qui vient de se rompre sous l'effet de la rouille...
Akakia
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