Déferlante populiste sur la Maison Blanche, un signe des temps
Ce que je retiens de cette finale électorale US, c'est le ras-le-bol général de l'électeur moyen. Et c'est exactement ce que je perçois au Québec. J'écoute, j'observe et je réagis peu par les temps qui courent car j'ai l'impression de ne pas être entendue en haut-lieu. Mais je vois bien la hargne qui s'est installée graduellement au sein de la collectivité québécoise.
Que notre premier ministre et la députation en prennent note, cette élection est un signe des temps ! La liste des récriminations populaires est sans fin. Les Québécois de souche se sentent déclassés au profit des immigrants et des minorités culturelles, les gens des régions ressources comprennent qu'ils sont déclassés au profit de Montréal qui décide au nom du tout Québec. Et que dire de la trahison des clercs et de l'élite, du mépris des politiciens eu égard au peuple, du fait de ne pas être considéré dans l'espace publique, du mouvement féministe qui perd les pédales et qui n'en finit plus d'écraser la gent masculine sous l'opprobre, de l'appauvrissement de la classe moyenne, du culte du consensus et de la pensée unique cultivé comme une vertu théologale au Québec, de la corruption et du renforcement de l'État policier. Tout ça et encore bien d'autres choses encore ont fini par rendre les électeurs cyniques envers les décideurs politiques, les élites et les grandes institutions qui ne sont là que pour protéger le statu quo.
Je vous donne en exemple le mémoire que j'ai rédigé à mes frais dans le cadre du projet de loi C-64, sur le registre québécois des armes à feu. Ce mémoire, que j'ai rédigé en âme et conscience et qui ne pouvait pas plaire ni aux élus, ni au mouvement féministe, ni aux chefs de police, eh bien ce point de vue réfléchi je n'ai pas pu le déposer auprès de l'Assemblée nationale qui a par contre donné 85% de son espace aux défenseurs de ce registre inutile (portes-paroles de Poly-se-souvient, mouvements féministes du Québec, chefs de police et représentants syndicaux des corps de police), des organisations qui ont triché en connaissance de cause sur les chiffres et la réalité, qui ont menti et qui ont abusé de leurs pouvoirs.
Que notre premier ministre et la députation en prennent note, cette élection est un signe des temps ! La liste des récriminations populaires est sans fin. Les Québécois de souche se sentent déclassés au profit des immigrants et des minorités culturelles, les gens des régions ressources comprennent qu'ils sont déclassés au profit de Montréal qui décide au nom du tout Québec. Et que dire de la trahison des clercs et de l'élite, du mépris des politiciens eu égard au peuple, du fait de ne pas être considéré dans l'espace publique, du mouvement féministe qui perd les pédales et qui n'en finit plus d'écraser la gent masculine sous l'opprobre, de l'appauvrissement de la classe moyenne, du culte du consensus et de la pensée unique cultivé comme une vertu théologale au Québec, de la corruption et du renforcement de l'État policier. Tout ça et encore bien d'autres choses encore ont fini par rendre les électeurs cyniques envers les décideurs politiques, les élites et les grandes institutions qui ne sont là que pour protéger le statu quo.
Je vous donne en exemple le mémoire que j'ai rédigé à mes frais dans le cadre du projet de loi C-64, sur le registre québécois des armes à feu. Ce mémoire, que j'ai rédigé en âme et conscience et qui ne pouvait pas plaire ni aux élus, ni au mouvement féministe, ni aux chefs de police, eh bien ce point de vue réfléchi je n'ai pas pu le déposer auprès de l'Assemblée nationale qui a par contre donné 85% de son espace aux défenseurs de ce registre inutile (portes-paroles de Poly-se-souvient, mouvements féministes du Québec, chefs de police et représentants syndicaux des corps de police), des organisations qui ont triché en connaissance de cause sur les chiffres et la réalité, qui ont menti et qui ont abusé de leurs pouvoirs.
De cette tricherie parlementaire, du mutisme de la presse élitiste et bien pensante, j'en ai retiré une déception et un dégoût immenses contre tous ces partis politiques, PL, PQ et QS en tête, qui se sont foutus du peuple et des régions ressources et je vais m'en souvenir dans deux ans, croyez-moi...
Je sais, ce ne sera peut-être qu'un vote dans votre esprit (MMme Couillard, Lisée, David), mais vous ne l'aurez pas. Car mon prochain vote je le réserve à celui ou celle qui parlera en mon nom, avec le langage qui me convient et qui me représente...
Akakia
1 Comments:
dit :
Il n'y a qu'un seul candidat qui a conservé sa liberté de pensée pendant la dernière élection provinciale. Martine Ouellet et ce fut mon choix. Je fus invités avec d'autres à participer à une émission de Radio-Canada en fin d'après-midi et je m'était offert à y défendre mon choix. Martine Ouellet. En route vers la station et une demie-heure avant l'émission, j'ai reçu un téléphone me disant que cette partie de l'émission avait été retirée. Jean-Pierre Plourde.
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