Ne tirez pas sur le pianiste !
Pour ceux et celles qui n'ont pas suivi et qui ne peuvent disposer de toutes les pièces pour se comprendre dans ce chaos, reprenons l'histoire à ses débuts.
Voilà ! J'ai reçu des hommages de partout pour mon dernier ouvrage qui met en exergue la lutte des Métis de la Boréalie. J'en étais heureux et j'ai exposé ce bonheur sur mon blogue d'Akakia. Des gens associés au combat nationaliste du Québec et au FFI, en l'occurrence J.-L. Dion et Alfred Mignot (fondateur du FFI), s'en sont pris publiquement à cette reconnaissance que je n'ai pas cherchée mais qui me va droit au coeur. Ils m'ont fustigé de tous leurs feux et se sont même acharnés à en remettre dans les braises pour alimenter une campagne de salissage indigne qui a certainement d'autres buts que ma simple personne.
Je le répète : Je n'ai pas cherché cette querelle ! Elle m'a été imposée et est venue des sommets de la francophonie internationale. Mais en quoi, dites-moi, cela peut-il indisposer quelqu'un que mon travail d'historien soit enfin reconnu, après 35 ans d'efforts ? Curieusement, même si j'ai voué ma vie à la défense des droits des Canadiens français, des Métis et de la langue française, ces éloges sont venus du Canada anglais, des fédéralistes et des voltairiens de France, des gens qui méritent mon respect et mon amitié tout autant que les franco-québécois, ne vous en déplaise. On peut aimer son père et sa mère sans que cela ne soit un problème pour personne.
À voir l'acharnement que met M. Mignot, encore ce matin, à colporter ses plus vives injures à mon endroit, je comprends que je suis la cible d'un haut-lieu dont les ramifications m'échappent. Comprenez encore que tout ce que j'ai acquis en ce bas monde, y compris l'honneur et la notoriété, je ne l'ai pas volé. C'est le travail, la détermination et la lutte que je mène pour la liberté et la justice qui me valent mes lettres de noblesse. On me salue pour mes écrits et ma lutte, je lève mon chapeau et remercie ceux qui me saluent. On me tire dessus, je fais ce qu'il me semble juste et honnête de faire pour ne pas périr sous ces feux.
S'il y a une autre alternative d'éviter ces indignes attaques, enseignez-les moi. J'aime mieux la paix que la guerre, mais moins la mort et le déshonneur que la guerre...
Russel Bouchard
Le Métis
Voilà ! J'ai reçu des hommages de partout pour mon dernier ouvrage qui met en exergue la lutte des Métis de la Boréalie. J'en étais heureux et j'ai exposé ce bonheur sur mon blogue d'Akakia. Des gens associés au combat nationaliste du Québec et au FFI, en l'occurrence J.-L. Dion et Alfred Mignot (fondateur du FFI), s'en sont pris publiquement à cette reconnaissance que je n'ai pas cherchée mais qui me va droit au coeur. Ils m'ont fustigé de tous leurs feux et se sont même acharnés à en remettre dans les braises pour alimenter une campagne de salissage indigne qui a certainement d'autres buts que ma simple personne.
Je le répète : Je n'ai pas cherché cette querelle ! Elle m'a été imposée et est venue des sommets de la francophonie internationale. Mais en quoi, dites-moi, cela peut-il indisposer quelqu'un que mon travail d'historien soit enfin reconnu, après 35 ans d'efforts ? Curieusement, même si j'ai voué ma vie à la défense des droits des Canadiens français, des Métis et de la langue française, ces éloges sont venus du Canada anglais, des fédéralistes et des voltairiens de France, des gens qui méritent mon respect et mon amitié tout autant que les franco-québécois, ne vous en déplaise. On peut aimer son père et sa mère sans que cela ne soit un problème pour personne.
À voir l'acharnement que met M. Mignot, encore ce matin, à colporter ses plus vives injures à mon endroit, je comprends que je suis la cible d'un haut-lieu dont les ramifications m'échappent. Comprenez encore que tout ce que j'ai acquis en ce bas monde, y compris l'honneur et la notoriété, je ne l'ai pas volé. C'est le travail, la détermination et la lutte que je mène pour la liberté et la justice qui me valent mes lettres de noblesse. On me salue pour mes écrits et ma lutte, je lève mon chapeau et remercie ceux qui me saluent. On me tire dessus, je fais ce qu'il me semble juste et honnête de faire pour ne pas périr sous ces feux.
S'il y a une autre alternative d'éviter ces indignes attaques, enseignez-les moi. J'aime mieux la paix que la guerre, mais moins la mort et le déshonneur que la guerre...
Russel Bouchard
Le Métis
1 Comments:
dit :
Vous résumez très bien le déroulement des événements, à moins que je ne sache plus lire.
En effet, M. Bouchard, j'ai bien relu toute la correspondance échangée depuis des heures maintenant.
Moi-même, j'étais depuis cette reconnaissance de l'Union métisse Est-Ouest, toute à la joie de vous célébrer et de célébrer vos mérites à titre d'historien. Et je ne vous l'ai jamais caché, au contraire. Et vous le méritiez bien. Vous êtes la Mémoire des Métis et par conséquent de celle des Canadiens français du Saguenay-Lac-Saint-Jean et Côte-Nord.
Et soudain cette charge à fond de train contre votre personne. Pourquoi?
Vous avez été profondément blessé dans ce que vous avez de plus intime.
Tout cela est déchirant!
Marie Mance Vallée
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