Qui regrette la mort de Milosevic ?!
Décès, hier, à la prison de La Haye, du leader serbe Slobodan Milosevic, avant d'avoir été jugé et condamné par le Tribunal pénal international, pour crimes de guerre et génocide perpétrés dans les années 1990 contre la population bosniaque. Officiellement, cet accusé arrogant qui embarrassait un peu trop les maîtres de la tyrannie de la mondialisation, est mort d'une crise de coeur... suite à une overdose de soins procéduriers et, la preuve étant, d'une diète assassine !
La veille de sa mort témoignent les journaux de la planète, le tueur en série Milosevic avait réussi à passer une lettre à ses supporters russes à qui il demandait du reste de le sauver d'un complot ourdi contre sa personne. Et ce matin, lendemain de sa mort annoncée, sa veuve, Mirjana, témoigne de son état d'esprit toujours combatif jusqu'à la dernière heure où a sonné le trépas. En tout cas, si l'homme est mort d'une cause naturelle (quand l'enveloppe du coeur pette au frette et que les poumons n'amènent plus d'air, c'est évidemment la Nature qui emporte le reste !), on ne peut pas dire qu'il désirait cette mort jusqu'au point d'en être l'auteur, et on ne pourra pas dire non plus que ce sacripant n'avait pas de bonnes dispositions pour la prémonition !
Si les malheurs qui ont marqué la vie de cet homme au passé peu recommandable ne me font pas un pli sur le coeur, comprenez que je ne doute pas, un seul instant, que ce décès prématuré soit le fruit d'un assassinat longuement planifié par ses geôliers. Rien de plus facile aujourd'hui, avec les manipulations chimiques et la science, de prendre une petite année pour miner à petit feu la santé d'un homme dérangeant, sans que rien n'y paraisse et jusqu'à ce qu'il soit couché dans sa tombe satinée. Car, ne l'oublions surtout pas, le procès de Milosevic, s'il avait été mené avec toute l'impartialité requise, aurait finalement débouché sur la responsabilité de ceux-là mêmes —toujours les mêmes !— qui lui ont donné ses canons pour pratiquer une brèche dans cette partie faible du rideau de fer. En tout cas, si j'étais Saddam Hussein et que j'avais eu un jour ces mêmes comparses pour faire ma guerre, j'y repenserais à deux fois avant de boire mon jus d'orange sucré et mes gaufrettes au miel servis chaque matin sur un plateau d'argent.
Un tyran est mort ! Certes on peut toujours dire que ça en fait un de moins à voler notre air et à vivre sur du temps emprunté. Mais cela n'enlève strictement rien à la responsabilité de ses juges et geôliers qui ont le pouvoir d'imposer la loi des vainqueurs qui n'est rien d'autre qu'une tyrannie pour les vaincus et les abusés. Un tyran est mort ! Qu'il en soit ainsi !Pour bien dire, je ne nourrissais pas de bons sentiments pour cette brute arrogante. Mais les événements des dernières années m'ont appris que quand un tyran meurt il y en a inévitablement dix qui se battent pour prendre sa place.
Akakia
La veille de sa mort témoignent les journaux de la planète, le tueur en série Milosevic avait réussi à passer une lettre à ses supporters russes à qui il demandait du reste de le sauver d'un complot ourdi contre sa personne. Et ce matin, lendemain de sa mort annoncée, sa veuve, Mirjana, témoigne de son état d'esprit toujours combatif jusqu'à la dernière heure où a sonné le trépas. En tout cas, si l'homme est mort d'une cause naturelle (quand l'enveloppe du coeur pette au frette et que les poumons n'amènent plus d'air, c'est évidemment la Nature qui emporte le reste !), on ne peut pas dire qu'il désirait cette mort jusqu'au point d'en être l'auteur, et on ne pourra pas dire non plus que ce sacripant n'avait pas de bonnes dispositions pour la prémonition !
Si les malheurs qui ont marqué la vie de cet homme au passé peu recommandable ne me font pas un pli sur le coeur, comprenez que je ne doute pas, un seul instant, que ce décès prématuré soit le fruit d'un assassinat longuement planifié par ses geôliers. Rien de plus facile aujourd'hui, avec les manipulations chimiques et la science, de prendre une petite année pour miner à petit feu la santé d'un homme dérangeant, sans que rien n'y paraisse et jusqu'à ce qu'il soit couché dans sa tombe satinée. Car, ne l'oublions surtout pas, le procès de Milosevic, s'il avait été mené avec toute l'impartialité requise, aurait finalement débouché sur la responsabilité de ceux-là mêmes —toujours les mêmes !— qui lui ont donné ses canons pour pratiquer une brèche dans cette partie faible du rideau de fer. En tout cas, si j'étais Saddam Hussein et que j'avais eu un jour ces mêmes comparses pour faire ma guerre, j'y repenserais à deux fois avant de boire mon jus d'orange sucré et mes gaufrettes au miel servis chaque matin sur un plateau d'argent.
Un tyran est mort ! Certes on peut toujours dire que ça en fait un de moins à voler notre air et à vivre sur du temps emprunté. Mais cela n'enlève strictement rien à la responsabilité de ses juges et geôliers qui ont le pouvoir d'imposer la loi des vainqueurs qui n'est rien d'autre qu'une tyrannie pour les vaincus et les abusés. Un tyran est mort ! Qu'il en soit ainsi !Pour bien dire, je ne nourrissais pas de bons sentiments pour cette brute arrogante. Mais les événements des dernières années m'ont appris que quand un tyran meurt il y en a inévitablement dix qui se battent pour prendre sa place.
Akakia
1 Comments:
dit :
Les Balkans ont toujours été une poudrière. Quels intérêts sont derrière ce dossier de la Serbie et du génocide? Qui a intérêt à détruire les Serbes et la Serbie? Bien sûr ces intérêts ne justifient pas un génocide.
Que les Russes émettent des doutes sur la crédibilité du médecin hollandais qui a pratiqué l'autopsie ne surprend pas.
N'avons-nous pas appris en 1982 de la bouche même de l'impératrice Zita de l'ex Empire austro-hongrois, en exil pendant 63 ans,au moment de son retour en Autriche, que le fils de Sissi, l'archiduc Rodolphe (Mayerling) ne se serait pas suicidé comme le veut la version officielle, mais qu'il aurait été assassiné? Et Jean de Cars en fait la démonstration.
Il aura fallu près de cent ans pour soulever quelque peu le voile qui permettra de connaître la vérité.
Il faut être prudent et circonspect dans cette affaire. Les versions officielles sont souvent douteuses.
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