L'Approche commune : dispute raciale entre citoyens de la Haute Cote-Nord et Ilnutsh
Le moins qu'on puisse dire, c'est que le projet de Traité contenu dans le protocole d'entente signé par les deux paliers de gouvernements supérieurs et les Ilnutsh (une nation fictive, soit dit en passant, créée grâce au mercenariat des historiens et des anthropologues amérindianophiles), n'a pas fini de susciter la controverse et d'attiser le racisme auprès des populations régionales directement impliquées.
Comme gâchis social et politique et comme instrument de décadence sociétale, difficile de faire mieux ! Moins de deux ans après la signature de l'entente préliminaire (le 30 mars 2004), alors que le ministre délégué aux Affaires autochtones du Québec (Geff Kelley) se cherche toujours une manière de nous l'enfoncer par derrière, on nous apprend que les citoyens de la municipalité de Forestville et de la MRC de la Haute Côte-Nord se sont vus spolier leurs droits d'exploitation des ressources hydrauliques par le ministère des Ressources naturelles qui a décidé de réserver, en exclusivité, cette richesse à une poignée d'Indiens qui seraient bien mal foutus de démontrer leurs liens ancestraux avec ceux qui ont accueilli Jacques Cartier, en 1534. L'article qui suit, signé Shirly Kennedy, parle de lui-même et témoigne d'un dérapage historique que j'avais personnellement prédit dans un texte publié le 31 mars 2004 dans le journal « Le Quotidien », sous le titre « Approche commune : l'acte de décès de notre collectivité ». Voyez plutôt :
««« Une importante assemblée publique aura lieu à Forestville le mercredi
1er février prochain à compter de 19 heures à la salle Ginette B. Sirois
du complexe Guy-Ouellet de Forestville, afin de permettre aux citoyens
d’établir un plan d’actions stratégiques afin de contrer l’offensive de
la première nation de Betsiamites et son chef Raphaël Picard.
Situées en plein cœur de Forestville, les chûtes des 4 et 5 milles sont
convoitées par le chef Picard qui a entrepris des travaux visant
l’aménagement de deux mini-centrales. Ce dernier a également confirmé
que sa communauté sera le seul promoteur, le seul investisseur et le
seul bénéficiaire pour ce projet.
Étant donné que la signature de l’entente de principe par les
gouvernements et les autochtones confèrent à ces derniers des droits sur
tout le territoire, la démarche actuelle de Raphaël Picard est non
souhaitable pour la région selon certains citoyens qui craignent que ce
modèle risque de s’étendre à d’autres niveaux tels que dans le domaine
de la forêt, la faune, les mines, l’eau potable, la pêche, etc. Il
semble de plus que le titre aborigène des autochtones aurait priorité
même sur les propriétés privées et municipalisées. Les lois juridiques
du Québec et du Canada, qui semblent légitimer toutes prises de
propriété et de revendications territoriales par les autochtones,
démontrent qu’en droit et en fait, n’ont plus selon toute vraisemblance,
aucun pouvoir de défense du droit des non-autochtones.
C’est pourquoi la situation d’incertitudes et d’instabilité sociale dans
laquelle les gouvernements ont plongé la région en relation avec la
démarche antidémocratique entourant la question de l’approche commune et de l’entente de principe d’ordre général inquiète grandement les
citoyens qui croient que la démocratie a préséance sur tous les faits
historiques, politiques et économiques.
Shirley Kennedy »»»
Comme gâchis social et politique et comme instrument de décadence sociétale, difficile de faire mieux ! Moins de deux ans après la signature de l'entente préliminaire (le 30 mars 2004), alors que le ministre délégué aux Affaires autochtones du Québec (Geff Kelley) se cherche toujours une manière de nous l'enfoncer par derrière, on nous apprend que les citoyens de la municipalité de Forestville et de la MRC de la Haute Côte-Nord se sont vus spolier leurs droits d'exploitation des ressources hydrauliques par le ministère des Ressources naturelles qui a décidé de réserver, en exclusivité, cette richesse à une poignée d'Indiens qui seraient bien mal foutus de démontrer leurs liens ancestraux avec ceux qui ont accueilli Jacques Cartier, en 1534. L'article qui suit, signé Shirly Kennedy, parle de lui-même et témoigne d'un dérapage historique que j'avais personnellement prédit dans un texte publié le 31 mars 2004 dans le journal « Le Quotidien », sous le titre « Approche commune : l'acte de décès de notre collectivité ». Voyez plutôt :
««« Une importante assemblée publique aura lieu à Forestville le mercredi
1er février prochain à compter de 19 heures à la salle Ginette B. Sirois
du complexe Guy-Ouellet de Forestville, afin de permettre aux citoyens
d’établir un plan d’actions stratégiques afin de contrer l’offensive de
la première nation de Betsiamites et son chef Raphaël Picard.
Situées en plein cœur de Forestville, les chûtes des 4 et 5 milles sont
convoitées par le chef Picard qui a entrepris des travaux visant
l’aménagement de deux mini-centrales. Ce dernier a également confirmé
que sa communauté sera le seul promoteur, le seul investisseur et le
seul bénéficiaire pour ce projet.
Étant donné que la signature de l’entente de principe par les
gouvernements et les autochtones confèrent à ces derniers des droits sur
tout le territoire, la démarche actuelle de Raphaël Picard est non
souhaitable pour la région selon certains citoyens qui craignent que ce
modèle risque de s’étendre à d’autres niveaux tels que dans le domaine
de la forêt, la faune, les mines, l’eau potable, la pêche, etc. Il
semble de plus que le titre aborigène des autochtones aurait priorité
même sur les propriétés privées et municipalisées. Les lois juridiques
du Québec et du Canada, qui semblent légitimer toutes prises de
propriété et de revendications territoriales par les autochtones,
démontrent qu’en droit et en fait, n’ont plus selon toute vraisemblance,
aucun pouvoir de défense du droit des non-autochtones.
C’est pourquoi la situation d’incertitudes et d’instabilité sociale dans
laquelle les gouvernements ont plongé la région en relation avec la
démarche antidémocratique entourant la question de l’approche commune et de l’entente de principe d’ordre général inquiète grandement les
citoyens qui croient que la démocratie a préséance sur tous les faits
historiques, politiques et économiques.
Shirley Kennedy »»»
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