Histoire des Indiens du Québec, une imposture honteuse – En passant, où sont passés les Métis ?
L’histoire au Québec et les Amérindiens ?! Il faudrait d’abord la sortir des universités pour avoir la vérité. Ce sont eux qui l’écrivent et l’accréditent soit pour des raisons d’argent soit pour des raisons politiques. Et comme les deux font la paire, on n’en sort jamais.
Ici, au Québec comme au Canada d’ailleurs, on fonctionne par consensus historiographique. Comme dans le 1984 d’Orwell. Il faut que tout le monde voit les choses à travers un prisme officiel sinon ils sont éliminés du réseau scolaire, interdits d'enseignement dans les universités et interdits de publication dans les maisons d'édition accréditées. Après avoir rayé du vocabulaire officiel le mot « sauvage » qui est pourtant la manière légale de définir un autochtone au Québec, selon la loi de 1850, on vient de rendre anathème et blasphématoire le mot « amérindien ». Trouvez-moi un document ancien dans lequel on retrouve « Premières nations », le nouvel ethnonyme les concernant, et je fais amende honorable. Ce terme n’a jamais existé. Rappelez-vous du terme Montagnais, prononcé pour la première fois par Champlain et reconnu dans les traditions langagières, eh bien il a disparu officiellement lors de ma publication « Le dernier des Montagnais », disparus à la fin du XVIIe siècle à cause des épidémies virales et des guerres. Il a été officiellement remplacé par Ilnutsh, qui est un terme générique formé de deux mots en langue montagnaise pour parler d’eux, c’est-à-dire des « vrais êtres humains ». Ils l’ont changé parce que ça devenait impossible dans le cadre de leurs revendications.
Pour les Métis du Québec, oubliez ça, les Indiens et les gouvernements ne veulent surtout pas reconnaître cette réalité. Il y a des Métis partout au Canada, sauf au Québec. Pourtant, c’est ici que ce peuple est né et c’est à partir d’ici qu’il a essaimé partout en Amérique du Nord. Pour dire mieux, les réserves abusivement dites indiennes ne comptent que des Métis sur leur territoire. Les reconnaître obligerait une réécriture de l’histoire pour rétablir la vérité historique, et enlèverait aux « premières nations » du Québec le monopole de l’Autochtonie en fonction de l’article 35 de la Constitution.
Ici, on déconstruit l’histoire. Alors ne vous étonnez pas qu’on en soit rendu là. On n'a pas encore compris que l’Indianité est une construction politique qui remonte justement à la création des réserves, en 1851, par le système coloniale britannique et qui a été reconduit dans le pacte confédératif de 1867 pour les faire disparaître législativement avec ce siècle, ce qui n’est pas arrivé.. Dans l’histoire des Indiens du Canada, on nage dans la pire confusion et la promiscuité politique. Les historiens qui en font l’éloge font salon avec les avocats, les politiciens et les chefs « amérindiens » (oups ! Je viens d’apprendre que le mot n’est plus permis).
C’est d’ailleurs comme ça que les Métis engagés dans un procès contre les Ilnutsh et le gouvernement ont perdu leur cause devant les tribunaux. L’histoire des Indiens, au Québec, oubliez la vérité et la réalité historique. Lisez mon livre « Otipemisiwak » et vous allez comprendre jusqu’à quel point la vérité historique est bafouée, judiciarisée, trahie au Québec et au Canada.
Akakia
1 Comments:
dit :
Parfaitement raison pourtant je n,ai pas aller a l'ecole bien longtemp, mais ce quil mapprenais netait que detournement de notre histoire. Une chance que jai eu mes ancetres comme mon pere et mon. Grand pere pour me dire la verite. De jos alain metis du domaine du roy. Kwe
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