samedi, avril 27, 2019

Immigration et criminalité dans les grandes villes du Canada — PAS QUESTION DE ME TAIRE !



Ma chronique d’hier sur l’arrestation de quatre proxénètes à Longueuil par la police a suscité beaucoup d’intérêt et m’a même mérité d’être censurée par les gardiens de la vérité de Facebook qui l’a retirée. C’est la quatrième fois depuis que je suis membre de ce média social. Pour échapper à cette censure, j’ai donc publié l’intégralité de ma chronique sur mon site « Les délires d’Akakia », et comme le terme « sous-race de l’humanité » portait à confusion, je l’ai donc changé pour « lie de l’humanité » qui respecte assez bien l’idée que j’avais alors en tête. Mon texte m’a valu beaucoup-beaucoup d’appui, mais également des invectives de la gauche radicale pro-migration massive et anti-armes à feu.

Qu’on me comprenne bien ! Ces quatre crapules de Longueuil se sont liées en gang pour faire du proxénétisme et s’adonner à la traite des blanches, et il faudrait passer par-dessus l’inacceptable coïncidence qu’ils sont manifestement tous d’origines étrangères, soit de première ou deuxième génération. Pas question de me la fermer ! Nous référons ici à des choix politiques de nos gouvernements en matière d’immigration, et la Constitution du pays garantie mon droit de parole.

A la fin de ma chronique, je pose une question toute simple, et c’est là l’essentiel qu’il faut retenir de mon commentaire : pourquoi n’avons-nous pas les statistiques sur l’origine ethnique de la criminalité au Canada ? Ça me semble clair pourtant !

De plus en plus au Canada et au Québec, au fur et à mesure de la lecture des faits divers liés à la criminalité et la violence armée dans les grandes villes du Canada, on découvre que l’énorme majorité de ces criminels et de ces gangs appartiennent aux plus récentes générations de migrants. Parce que nous vivons dans une société aseptisée et que le parti libéral au pouvoir a un penchant pour l’immigration de masse, ce constat que nous faisons tous au fil des jours est maintenu sous le boisseau par les gardiens du système, et le simple fait d’exprimer ses craintes légitimes à l’égard de l’immigration mal contrôlée est devenu coupable par lui-même ! Je n’accepte pas cette situation et je le conteste.

Que Statistiques Canada nous donne les résultats de la compilation des plus récentes données sur la criminalité, et on verra si j’ai tort ou raison ! Qu’ont-ils à cacher pour nous réduire ainsi dans l’ignorance ? Donnez-nous les statistiques, c’est pourtant pas compliqué ? Cela nous permettrait, le cas échéant, de comprendre l’évolution de la criminalité au Canada, de savoir la part de la culture dans les types de crimes, et d’influer sur les politiques nationales en matière d’immigration, de criminalité et de politiques sociales.

Akakia